Annonces, évènements et film (Allemand)
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Annonces, évènements et film (Allemand)
Février 1941:
Tout ce qui concerne le mois de février 1941:
6/2/1941
Après un petit séjour en Italie, nous voila près pour partir en Afrique. Demain, nous seront réveiller par le bruit des moteurs, mais nous irons nous coucher avec le vacarme des canons. Nos appareils sont près et nous sommes attendu en première ligne des combat qui se déroule de l'autre côté de la méditerranée. Les anglais nous ont peut être repousser il y a quelques mois. Mais nous avons depuis lors appris de nos erreurs et nous allons leur montré que nous sommes bien plus fort qu'eux.
La simple présence de nos blindé les font se replier chaque jour de plus en plus. Que vont ils faire lorsqu'ils vont croiser nos Bf 109 ?
La guerre du désert:
7/2/1941
Il ne faisait pas chaud ce matin de février mais le froid ne nous à pas empêcher de nous lever pour nous envoler vers notre nouvelle base. Nous devions escorter un groupe de bombardier qui partait vers l'Afrique. Une mission qui ne semblait pas trop difficile. Cependant, le départ fut retarder. Un de nos chasseur a eu un soucis et n'a pu faire démarrer son moteur. Après une vingtaines de minutes d'attentes, le chef d'escadrille à décider de le laisser avec un autre sur la base en attendant que la panne soit réparer. Ils traverseraient la méditerranée plus tard, une fois la panne réparer.
C'est un sacré manque de chance pour notre premier jour en Afrique.
Nous avons donc décollé avec 20 minutes de retard. Le ciel était bleu, mais il y avait cependant certains nuages sur la route, mais rien d'inquiétant. Nous empruntions une route si loin des bases ennemies que nous étions sur de ne rien rencontrer excepté des appareils à nous. Pendant la traversé, plusieurs contacte se sont dessiné à l'horizon. Certains était des avions probablement en patrouille et d'autre de simple navire rejoignant un port soit en Sicile, soit en Afrique. Il n'y avait rien d'alarmant. Et puis les bombardiers nous ont signalé un contacte à proximité d'eux. Celui-ci semblait tourner autour d'un groupe de navire. Nous nous sommes approché pour l'identifier. A la surprise général, il s'agissait d'un Sunderland. Un quadrimoteur britannique de reconnaissance.
Sous l'œil attentif du leader, deux des Bf 109 ont lancé une attaque sur lui. En moins de 30 secondes le combat était terminé. le Sunderland perdait de l'altitude à vue d'œil avec un moteur en flamme et une partie du gouvernail arraché. Cependant, il n'y eu que 3 ou 4 parachutes pour un géant comme celui-ci ... C'était les premières victimes de notre escadrille en Afrique ...
Arrivé à notre destination, la mission s'était déroulée comme prévue. Les bombardier ont entamé leur approche mais l'un d'entre eux semblait avoir des soucis. Malgré l'installation de filtre à sable, un des moteurs encrassé du bombardier perdait de la puissance et le pilote déstabilisé n'a pu posé l'appareil correctement. Le contacte avec le sol fut violent. Le Junker se disloqua en bout de piste avant de prendre feux. Lors de notre atterrissage, un grand nuage de fumée noire cachait une partie de la piste droite. Pompier et ambulance s'afféraient autour des débris de l'appareil crashé ...
Vers 15h00, il faisait encore beau. le soleil commençait à descendre vers l'horizon et les débris du bombardiers crashé était toujours en train d'être évacué. Les pompiers de la base ont eu de gros soucis pour éteindre le feu. Les réservoir du bombardier ont continué à brulé pendant plusieurs heures après le crash. On pouvait encore voir de la fumée s'échapper de certaines parties de l'appareil. Mais désormais, tout était sous contrôle et la piste était quasiment dégagé. Il ne restait plus qu'a remblayer la grande trainé laissé par l'appareil en bout de piste.
Il y avait 2 appareil au dessus de la base. Ils se préparaient à atterrir. Il s'agissait des deux Bf 109 laissé derrière. Apparemment, ils avaient pu résoudre le problème moteur de ce matin.
8/2/1941
Il est 17h20, nous finissons à peine de manger et nous partons vers la salle de briefing. C'est une petite salle non loin des baraquements. Dedans, le commandant de la base nous y attend ainsi que les banc ou nous nous installerons au moins une bonne demi-heure pour écouter le briefing de la mission de ce soir. C'est la partie la plus ennuyeuse du vol, mais on doit admettre qu'elle est bien nécessaire ...
Il faisait encore jour, bien que le soleil commençait à disparaître derrière les dunes au loin. Nous partons pour une mission de nuit ... C'est un accueil très sympathique alors que nous avons garé nos appareil hier matin. La base était si vaste qu'il était dure de ne pas s'y perdre. Et ce soir, on nous envois en mission, sans visibilité alors que nous n'avons jamais vu cette partie du globe. C'est une idée originale. Nous sommes peu à être qualifier pour le vol de nuit. De plus, nous n'avons aucune balise de guidage comme au pays et nous n'avons pas non plus tous les instruments nécessaire. Ce sera probablement un vol compliqué. Cependant, il devrait faire encore assez clair pour distinguer facilement le sol.
Il fait sombre dans la salle de briefing. Seule une lumière au plafond permet d'éclairer nos pas pendant que nous prenons place sur les banc. Sur la petite scène aménagé devant nous, le commandant fit son apparition tout en demandant si nous étions tous la. Après avoir regarder la salle pleine, il fit fermer la seule fenêtre qui était restée ouverte et éteindre la lumière. Le projecteur placé au milieu de la salle s'alluma et les informations nécessaire à la réussite de la mission sont apparues ...
Pendant près de 20 minutes, nous avons eu droit à un topo sur la situation dans le secteur. Ensuite, nous en sommes venu à la description de la mission. Pour cette dernière, nous n'avons prit qu'une dizaine de minutes. Il ne restait plus que le briefing du leader et puis nous pourrions profiter d'une demi heure pour nous préparer avant de monter dans nos avions. Mais c'est à ce moment qu'un officier de liaison est arrivé dans la salle. Apparemment, au vu de l'expression du visage du commandant, il n'était pas porteur de bonnes nouvelles ...
Le commandant est sorti précipitamment de la salle suivis de l'officier et du chef d'escadrille. Ce dernier nous donna l'ordre de resté dans la salle et de bien étudier les photo et la carte. Après une vingtaines de minutes, ils sont revenu. Il était déjà 18h15. Il ne restait plus que 15 minutes avant l'heure de décollage et personne n'était près à décoller. C'est alors que le commandant s'adressa à nous:
"Nos forces ont été attaqué il y a un peu moins d'une heure. Un groupe de chasseur bombardier à repérer et attaqué un convois de troupe qui se dirigeait vers El Djem. Les pertes sont lourdes. plus d'une centaines d'hommes ont été tué et près du double blessé. Les véhicules de commandement font partie des pertes. Nous avons aussi perdu beaucoup de matériel. Une colonne de char à été détruite et plusieurs véhicules de transports de troupes et de matériel. Les véhicules de transmissions ont aussi été perdu. Un nouveau groupe est parti il y a une demi heure avec des véhicule de transmission. Les troupes non détruite ont continuer la progression vers El Djem, mais l'assaut est reporté de 2 heures."
Le chef d'escadrille enchaina:
"Nous avons donc intervertis l'heure de patrouille avec l'escadron italien basé à Hani. Il commence donc leur patrouille maintenant et nous enchaineront à 20h30. L'information vient d'être relayé au BF 110. La mission ne change donc pas pour nous. Seulement l'heure. Les italiens ont la même mission que nous mais moins de matériel disponible, c'est pourquoi nous ne voulions pas qu'il protège le début de l'attaque. Cette joie nous est laissé.
On se retrouve aux avions à 20h15, décollage 20h30 ! Rompez !".
Après environ 2h d'attente et de préparation, nous avons décollez. Nous étions 8 Bf 109 et nous devions retrouver un groupe de 4 Bf110. Cependant, directement après le décollage, un des 8 Bf 109 du faire demi tour et se poser. La mission commençait bien. Nous sommes tous partit vers El Djem. On pouvait facilement se guider grâce à toutes les traçantes provenant de la zone de combat. Le combat avait l'air de prendre de l'ampleur. On pouvait voir des obus tomber sur une dizaine de kilomètres carrés autour de la base. Comme nous l'avait dit, la gare de la ville était tout illuminer. Les anglais savaient que nous ne toucherions pas à la gare. Il était clair que nous devions la garder pour les ravitaillements futurs.
Le ciel était bien dégagé au dessus de la base, mais on pouvait voir des projecteurs de recherches scruter les nuages et le ciel au dessus de la piste. Quelques minutes après notre arrivé, nous les avons détruit. De retour sur la base aux environs de 1 000m, nous avons repérer un groupe de bombardier 2 000 m au dessus de nous. On pouvait voir 6 ombres passer en dessous de la lune. Tous le groupes a commencer à prendre de l'altitude, mais l'escorte des bombardiers nous avait aussi repérer. Plusieurs beaufighter nous ont croisé et le combat s'engagea. L'un d'eux fut abattu. Une fois dégagé, tous le groupe se mit à la poursuite des bombardier. Mais dans la nuit noire, il était difficile de les repérer. C'est une fois sur Hani que nous les avons retrouver. La DCA de la villes et les projecteurs nous ont éclairer les cilbes. Mais le temps de les atteindre, 4 étaient déjà tomber. 3 Détruit par la DCA et une autre par les tir de la DCA et d'un Bf 110. Un dernier fut abattu par les Bf 109. Le dernier n'a jamais été retrouvé.
Après plusieurs minutes de recherches, nous sommes repartit vers El Djem et nous avons fait un dernier passage sur la ville et nos forces. La bataille semblait gagner sur la base mais nos forces ne semblaient plus avancer. Elles n'ont pas tenter de pousser jusqu'à la ville. Nous sommes resté quelques minutes et puis nous sommes rentré. Nous avons suivis la route à basse altitude jusque la base. Comme on nous l'avait signalé dans le briefing, le convois attaqué était ben la. De nombreux véhicules brulaient encore.
Une fois à la base, nous avons entamer la manœuvre d'approche. Nous n'avions perdu aucun appareil. Et puis la, un beaufighter qui semblait nous avoir suivis à surgit sur nous. Nous étions quatre en l'air autour de la base. A tour de rôle, nous l'avons endommager. Son moteur gauche crachant une fumée noire et sa direction arraché, le chasseur ennemi plongea vers le sol et s'écrasa à quelques centaines de mètres de la bases. Pendant notre atterrissage, on pouvait voir les flammes et la fumée s'échappant de la carcasse de l'avions ...
9/2/1941
Il faisait encore sombre quand nous avons entamer le briefing. Le soleil commençait a illuminer l'horizon, mais sans lumière, nous n'aurions rien pu voire dans la salle de briefing. Nous devions décoller vers 6h30, lorsque le soleil serait assez haut pour nous permettre de voir correctement le sol. Notre mission étant d'attaquer tous les convois qui tenterait de rejoindre Sfax.
A 6h30, nous avons rejoins nos avions, cependant, un épais brouillard recouvrait la piste. Il était difficile d'en voir le bout, mais nous devions quand même décollé. £Une fois en l'air et au dessus de la couche de brouillard, nous avons pu nous mettre en formation et nous avons prit un cap vers El Djem. On pouvait voir le long de la route les carcasse encore fumante d'appareils abattu durant la nuit. La base et la ville ne valait guerre mieux. On pouvait distinguer de nombreux bunker en flamme, les reste de pièce d'artillerie ou de blindé. Tous les camps avait du subir de lourde perte. On avait pu aussi repérer des groupes de véhicule tentant de rallier El Djem. Probablement du renfort et du ravitaillement pour nos force déjà présente.
Une fois au dessus de la ville, nous avons suivis la route en compagnie de Bf 110. Ceux-ci avaient les mêmes objectifs que nous. Après quelques minutes de vol, l'un des Bf 110 a lancé une attaque sur une position d'artillerie près d'un petit village qui longeait la route. Les bombes ont explosé au milieu du petit fort organisé par les anglais. Il devait y avoir pas mal de dégât. A quelques centaines de mètres de la, nous avons repérer les convois qui se dirigeait vers Sfax. Nous avons donc commencé notre attaque avec nos bombes. En un passage, près d'une dizaine de camions furent détruit.
C'est alors que les français ont signalé un grand groupe d'appareil venant de Sfax. Sous les ordres du leader, toutes la formation a cessé l'attaque des véhicule et a prit de l'altitude. Manque de chance, la DCA endommagea gravement un des appareil qui du rentré immédiatement. Celui-ci se posa sur le ventre près de nos troupe à El Djem. Le reste des Bf 109 entra en combat avec des hurricane et des P36. Bien qu'en infériorité numérique, nos pilotes ont pu s'en sortir face à la quinzaine d'appareil ennemi se trouvant en face. Notre groupe à permis la destruction d'au moins quatre appareils ennemi et d'une dizaine de véhicule. Une belle victoire comparé au perte subie par nos forces. Les Bf 110 qui ne sont pas entré dans le combat avec les chasseur ont cependant pu aussi détruire pas mal d'ennemi. L'un d'entre eux à pu abattre 5 bombardiers ennemi à lui seul. Ceux-ci se dirigeaient vers El Djem pour bombarder la gare. Mais aucune bombe n'a atteint nos installation.
Une fois rentré à la base, le debriefing fut long, mais les résultat de tous les groupes présent ce matin sont clair. Les forces anglaise au sol et en l'air ont été presque totalement éliminé. Ce matin, nous avons remporté une grande victoire.
10/2/1941
Nos forces sont aux portes de Sfax. Les anglais ont compris qu'il ne pourraient pas tenir plus longtemps et évacuent tous ce qu'ils peuvent. Après le déjeuné, nous partions encore en briefing pour une mission. Depuis notre arrivé, elles s'enchainent a une vitesse folle. C'est notre troisième jour en Afrique et c'est aussi notre troisième sortie.
Une fois dans la salle, nous avons reçu nos ordres de missions: "Détruisez la base de Sfax et faites un maximum de dégât aux anglais !" La mission était clair et l'objectif simple. Nous avons pris l'air vers 10h30 avec nos Bf 109 équipé pour certains de bombes de 250 kg et pour d'autres de bombes de 50 kg. Nous étions 12 sur la piste, mais a nouveaux la malchance frappait. Seulement 11 appareils on prit l'air. Le dernier ayant un problème durant le roulage à larguer sa bombe en urgence a quelques centaines de mètres après le bout de piste et c'est posé en urgence a coté de la base. Le choc fut violant et l'appareil se disloqua ...
Nos 11 appareils restant sont donc parti vers Sfax. Sur le trajet, nous avons pu repérer quelques véhicules sur les routes. Ceux-ci avançaient vers le front. Une fois en vue de la zone de combat, les groupes ce sont séparer en deux. Le premier devait larguer les bombes et puis grimper pour se mettre en couverture et le second devait poursuivre l'attaque avec leurs bombes, mitrailleuses et canons.
En atteignant la base, on a pu voir décoller une multitude d'appareils en urgence. Il y avait des hurricane, des gladiator et des C 47. Lors du premier passage, plusieurs d'entre eux ont été détruit alors qu'il tentaient de prendre l'air. De notre coté, une défaillance du système d'armement des bombes nous fit perdre un autre Bf 109. La minuterie qui devait s'enclencher pour retarder l'explosion n'a pas fonctionné et le chasseur fut souffler par l'explosion de sa propre bombe. La carcasse en flamme de l'appareil c'est écrasé une cinquantaine de mètre à coté de la piste. Finalement, seul deux hurricane, un gladiator et deux C 47 ont pu décoller. Les autres ont été détruit au sol. Alors que nos chasseur détruisaient chaque appareil encore au sol, le premier groupe se chargea de détruire un maximum d'appareil en l'air. Au bout de quelques minutes, la base étant totalement rasé, tous les appareils ont commencé a chassé ceux qui restaient en l'air. Rapidement un gladiator et tombé et deux Swordfish l'ont suivis ainsi qu'un hurricane. En contre partie, la DCA avait éliminé un de nos appareil qui tenta de rentré jusque dans nos ligne. Un second, bien que moins endommagé du faire pareil. Les reste du groupe restant sur la zone pour infliger un maximum de dégât à l'ennemi.
La moitié de nos avions étaient déjà manquant et ceux qui étaient encore sur la cible n'allait pas tarder à rentrer. C'est alors que deux nouveaux hurricane entrèrent en combat. Ceux-ci n'étaient pas sur la base, mais derrière un des deux chasseur endommagé. Après avoir appelé à l'aide, le pilote du se poser en urgence dans le désert, près d'une route et d'une position d'artillerie allemande. Content de leur victoire, les deux hurricane tournaient autour de l'appareil crashé quand une partie des avions encore en arrière leurs sont tombé dessus.
En infériorité numérique, il n'ont pu résisté que quelques minutes avant d'être abattu.
Une fois de retour à la base, nous avons pu compter qu'il manquait près de la moitié des avions et que deux de nos pilotes avaient été tué. D'autres étaient porté disparu ou devaient rentré d'ici peu en voiture.
Malgré nos pertes, nous avons pu éliminer tous ce qu'il restait de la base. Les anglais ne pourraient plus l'utiliser pour envoyer des bombardiers léger harceler nos forces ou pour évacuer du matériel. C'est encore un petit pas vers Sfax!
12/2/1941
Carnage en mer
Alors qu'au sol notre victoire est écrasante, les pertes en mer sont désastreuse. Cette semaines, nos pertes s'élèvent à 2 destroyer et plusieurs cargo. Malgré notre supériorité aérienne dans la zone, les beaufighter et les beaufort ennemis ne cesse stopper nos navire. Avec la prise de Sfax, nous ne pouvons laissé une de nos voie de ravitaillement en proie aux bombardiers ennemis. Le port et les navires nous sont donc désormais vital pour la poursuite de notre avancé. Nous ne pouvons continuer à perdre homme et matériel de cette manière !
13/2/1941
Vers la fin de la matinée, nous avons prit l'air. Une petite patrouille de deux schwarm de Bf 109. Notre mission était de surveiller le ciel au dessus d'un convois se dirigeant vers Sfax. Une fois à proximité de Sfax, nous avons infléchit notre route vers le sud - est ou le convois devait se trouver. Mais en tournant la tête vers Sfax, on pouvait voire de nombreux tire provenant de la Flak. Une attaque était en cours et les pilotes de Bf 110 chargé de la protection de la ville signalait plusieurs appareils à basse altitude mais ils ne réclamaient aucune aide. Nous avons donc poursuivis notre route. Une fois à la verticale des navires, nous avons commencé a tourner autour d'eux.
Après plusieurs minutes, nous avons repérer des contactes mais a chaque fois, il s'agissait d'appareil italiens ou allemand. Mais en scrutant l'horizon, on pouvait toujours distinguer les combats qui se déroulait à Sfax. Quelques fois, nous entendions des transmissions radio de nos appareils qui étaient en combat. Mais notre secteur restait calme.
Peu de temps avant de partir, nous avons tout de même repérer un contacte suspect au niveau des plages. Nous avons donc décidé de l'identifier. C'était un PBY anglais. En moins de 2 minutes, nous avions atteint son altitude et après quelques rafales, l'appareil ennemi perdit de l'altitude pour finir sa course a quelques dizaines de mètre de l'eau. La plus part des membres d'équipage semblait avoir eu le temps de sauter.
Ensuite, nous avons continuer à patrouiller pendant quelques minutes. Une fois nos appareils de relèvent arrivé, nous avons quitté la zone et atterrit à la base. Nous n'avions perdu aucun appareil. Cependant, l'un d'entre nous eu un soucis au freinage et fit un cheval de bois mais mis à part son hélice, rien n'était cassé.
C'était une bonne journée pour nous et l'après midi nous été laissée libre.
14/2/1941
Cela fait une semaine que notre escadrille est déployé en Afrique. En une semaine, la ligne de front à avancé de plusieurs dizaine de kilomètres. Nous avons abattu de nombreux appareils ennemi et perdu plusieurs des nôtres. Cependant, le moral de nos force est au plus haut. L'ennemi est chaque jour obligé de reculer un peu plus. D'après les informations, ils sont désormais retranché plus au sud. Une forte position nous est signalé au niveau de château au nord de Chekira. Cependant, le commandement ne souhaite pas encore attaqué:
"Il nous faut consolidé nos positions, reposé nos troupes et révisé nos canon avant de marché sur Tripoli !".
Après les sévères perte que nos forces ont subis en allant vers Sfax, il était nécessaire de nous regrouper et de recevoir des renforts. Venu directement d'Allemagne, nous avons reçu de nouveaux pilotes et de nouveaux avions ! Plus chanceux que nous, ils ont une semaine pour s'adapter au climat sans être envoyer en première ligne directement. Pendant cette courte semaine de vacance, nous seront remplacé au front par une autre escadrille.
20/2/1941
Nos courtes vacances sont finies et nous sommes de retour au travail. Bien que nous n'avions pas quitté l'aérodrome car nous n'étions pas officiellement en permission, cette semaine de pause nous a fait du bien. Notre escadrille est donc de nouveau mobilisé en première ligne pour l'opération que prévoit l'état major ...
Ce matin, vers 8h, un groupe de bombardiers venant de Sicile est arrivé à El Djem. Notre mission était de les protéger pendant leur atterrissage. Pendant que nous décollions, deux Junker 88 de notre base démarraient leurs moteurs. Leur mission était d'aller prendre des photos des bases aérienne anglaise pour trouver leur bombardiers.
Une fois sur El Djem, le vol fut assez calme. Seul quelques appareils de transports sont passé dans notre secteurs. Ce n'était pas une mission a risque, il y avait peu de chance de trouver un ennemi aussi loin derrière nos ligne. Cependant, le vol n'était pas aussi calme dans le secteur de Sfax. D'où nous étions, nous pouvions apercevoir des tir de DCA et nous pouvions entendre a la radio que des bombardiers attaquaient le port. Après une quinzaine de minute, tout était redevenu calme. Les He 111 finissait de se poser et nous avons pu quitter le secteur. Une fois à la base, nous avons atterrit et pu nous diriger vers la salle de débriefing.
Après le débriefing, deux camions sont arrivé à la base. Le premier ramenait l'équipage d'un des deux junker et le second certaines pièces. Probablement l'appareil photo. En discutant avec le pilote, nous avons appris que le second junker à tenté d'attirer la chasse ennemie loin de lui pour lui permettre de rentrer avec les photo. Sa manœuvre à réussi, mais il n'en est pas revenu ...
Le soleil se coucha et un officier de l'état major vient nous rendre visite avec les ordres de demain. Il amenait aussi quelques nouvelles du front. A savoir que ce matin, à Sfax, un croiseur lourd italiens qui quittait le port à été coulé par un groupe d'A20 et que Sfax a été pilonné par un navire ennemi. Cependant, personne n'a pu le repérer depuis.
Les photo de reconnaissances:
La base de Médenine: On distingue plusieurs hangar assez important et de nombreux bimoteur et quelques quadrimoteur. On remarque aussi plusieurs chasseurs.
La ville de Médenine: On peut distinguer deux batterie anti aérienne ainsi que deux convois sur la route.
La base de Bou Grara: On ne trouve que des monomoteurs sur la base.
21/2/1941
7h00, le réveil sonne et péniblement nous sortons tous de nos couchettes pour nous diriger vers le réfectoire. Nous avions moins d'une heure pour nous préparer et manger avant de devoir rejoindre la salle de briefing. Ce matin, le soleil brillait de mille feux. Seul quelques nuages, solitaire, osait se dresser face au soleil et par moment nous apporté un peu d'ombre. Le climat dans le désert est assez pénible. Les journées chaudes séparé par de longue nuit froide épuisent les pilotes autant que le sable épuisent nos avions.
Cependant, chaque jours, nous devions être prêt à décoller et à attaquer l'ennemi.
8h00 Le réfectoire est remplit par tous les pilotes de l'escadrille. Un officier ouvrit la porte et appela tous le monde au briefing. Rapidement, nous finissions nos déjeuné et nous allions vers la petite salle ou le commandant nous attendait.
"Aujourd'hui, votre mission est d'escorter les Heinkel qui sont arrivé hier. Ceux-ci ont pour objectif la base de Médenine. Pour vous aider, les Bf 110 de la ZG 2 vous rejoindrons pour prendre part à l'escorte. Vous retrouverez les He 111 dans les alentours de El Djem. Les Bf 110 vous rejoindront à Sfax.
Comme vous le savez, le secteur que vous allez attaqué regroupe pas moins de 4 aérodromes. Vous risquez de rapidement être surclassé en nombre. Mais dans tous les cas, protéger les bombardiers. Ils nous sont vitaux.
Nous avons fait le plein de carburant dans vos appareil. Soyez près à décoller dans une heure !"
22/2/1941
Alerte ! Sfax est attaqué !
Le soleil était en train de se coucher, mais nous devions décoller d'urgence. Un appareil de reconnaissance avait repérer de nombreux char en approche et un cuirassé avait commencé à pilonner la ville et le port. Il était environ 18h15. Une fois en l'air, nous avons prit la direction d'El Djem et puis nous avons tourner vers Sfax. Il était très probable que l'ennemi lance une attaque aérienne pour supporter les forces au sol. Avant même d'atteindre la ville, plusieurs contacte ont été repérer. Une grande formation de bombardiers se dirigeait vers Sfax et des hurricane attaquaient nos colonnes de char sur la route. Séparer en petit groupe, une partie s'est lancé à la poursuite des bombardiers, d'autres ont attaqué les hurricanes.
Malgré le fait que nous étions peu sur les A 20, nous avons pu en abattre 4 et en endommagé fortement un dernier. Cependant, le moteur d'un de nos pilote toucher l'obligea à rentrer protéger par son leader. Cependant, il n'atteindra pas la base, son moteur est tombé en panne à 15 kilomètres de la piste.
Une fois à la base, c'est une sacré surprise qui attendait les autres Messerschmitt de retour à court de munition et de carburant. Des Beaufighter ont attaqué la base et détruit l'ensemble des Ju 88 qui y était stationné. Plusieurs réserves d'essence et quelques chasseurs. Cela nous met donc hors combat pour plusieurs jour.
Malgré cela, nous avons réussis à endommagé légèrement le cuirassé ennemi. Cela l'a obligé à quitté sa position après avoir perdu une partie de son armement lourd. Les Stuka à l'origine de l'attaque ont endommagé les deux tourelles arrière de celui-ci. Cependant, le retour fut quelque peu difficile. A commencé que la nuit était désormais tombé et qu'ils sont arrivé sur notre base durant l'attaque. Finalement, ils ont réussis à surprendre les bimoteurs ennemis et à en détruire deux avant de réussir à sortir de la mêlée pour rentrer chez eux.
23/2/1941
Notre base est hors de combat pour une période d'une semaine. Du nouveau matériel devrait nous être livré. En attendant, c'est une autre escadrille basé avec les Bf 110 qui va prendre le relai. D'ici une semaine, nous allons recevoir nos nouveaux Bf 109 E7/B. Cependant, nous ne recevrons pas de bombardiers pour remplacer les Ju 88 perdu. Ceux-ci seront basé plus loin dans nos lignes.
Nos nouveaux Bf 109 E7/B sont les dernier appareils sorti de l'usine. Ceux-ci peuvent être équipé de réservoir auxiliaire qui devrait nous permettre d'atteindre Tripoli. Cependant, on parle déjà d'un autre appareil en cours de test, le Bf 109 F. Il est probable que d'ici quelques moi ont reçoivent ce nouvel appareil qui serait plus performant que nos Emil actuel !
Tout ce qui concerne le mois de février 1941:
6/2/1941
Après un petit séjour en Italie, nous voila près pour partir en Afrique. Demain, nous seront réveiller par le bruit des moteurs, mais nous irons nous coucher avec le vacarme des canons. Nos appareils sont près et nous sommes attendu en première ligne des combat qui se déroule de l'autre côté de la méditerranée. Les anglais nous ont peut être repousser il y a quelques mois. Mais nous avons depuis lors appris de nos erreurs et nous allons leur montré que nous sommes bien plus fort qu'eux.
La simple présence de nos blindé les font se replier chaque jour de plus en plus. Que vont ils faire lorsqu'ils vont croiser nos Bf 109 ?
La guerre du désert:
7/2/1941
Il ne faisait pas chaud ce matin de février mais le froid ne nous à pas empêcher de nous lever pour nous envoler vers notre nouvelle base. Nous devions escorter un groupe de bombardier qui partait vers l'Afrique. Une mission qui ne semblait pas trop difficile. Cependant, le départ fut retarder. Un de nos chasseur a eu un soucis et n'a pu faire démarrer son moteur. Après une vingtaines de minutes d'attentes, le chef d'escadrille à décider de le laisser avec un autre sur la base en attendant que la panne soit réparer. Ils traverseraient la méditerranée plus tard, une fois la panne réparer.
C'est un sacré manque de chance pour notre premier jour en Afrique.
Nous avons donc décollé avec 20 minutes de retard. Le ciel était bleu, mais il y avait cependant certains nuages sur la route, mais rien d'inquiétant. Nous empruntions une route si loin des bases ennemies que nous étions sur de ne rien rencontrer excepté des appareils à nous. Pendant la traversé, plusieurs contacte se sont dessiné à l'horizon. Certains était des avions probablement en patrouille et d'autre de simple navire rejoignant un port soit en Sicile, soit en Afrique. Il n'y avait rien d'alarmant. Et puis les bombardiers nous ont signalé un contacte à proximité d'eux. Celui-ci semblait tourner autour d'un groupe de navire. Nous nous sommes approché pour l'identifier. A la surprise général, il s'agissait d'un Sunderland. Un quadrimoteur britannique de reconnaissance.
Sous l'œil attentif du leader, deux des Bf 109 ont lancé une attaque sur lui. En moins de 30 secondes le combat était terminé. le Sunderland perdait de l'altitude à vue d'œil avec un moteur en flamme et une partie du gouvernail arraché. Cependant, il n'y eu que 3 ou 4 parachutes pour un géant comme celui-ci ... C'était les premières victimes de notre escadrille en Afrique ...
Arrivé à notre destination, la mission s'était déroulée comme prévue. Les bombardier ont entamé leur approche mais l'un d'entre eux semblait avoir des soucis. Malgré l'installation de filtre à sable, un des moteurs encrassé du bombardier perdait de la puissance et le pilote déstabilisé n'a pu posé l'appareil correctement. Le contacte avec le sol fut violent. Le Junker se disloqua en bout de piste avant de prendre feux. Lors de notre atterrissage, un grand nuage de fumée noire cachait une partie de la piste droite. Pompier et ambulance s'afféraient autour des débris de l'appareil crashé ...
Vers 15h00, il faisait encore beau. le soleil commençait à descendre vers l'horizon et les débris du bombardiers crashé était toujours en train d'être évacué. Les pompiers de la base ont eu de gros soucis pour éteindre le feu. Les réservoir du bombardier ont continué à brulé pendant plusieurs heures après le crash. On pouvait encore voir de la fumée s'échapper de certaines parties de l'appareil. Mais désormais, tout était sous contrôle et la piste était quasiment dégagé. Il ne restait plus qu'a remblayer la grande trainé laissé par l'appareil en bout de piste.
Il y avait 2 appareil au dessus de la base. Ils se préparaient à atterrir. Il s'agissait des deux Bf 109 laissé derrière. Apparemment, ils avaient pu résoudre le problème moteur de ce matin.
8/2/1941
Il est 17h20, nous finissons à peine de manger et nous partons vers la salle de briefing. C'est une petite salle non loin des baraquements. Dedans, le commandant de la base nous y attend ainsi que les banc ou nous nous installerons au moins une bonne demi-heure pour écouter le briefing de la mission de ce soir. C'est la partie la plus ennuyeuse du vol, mais on doit admettre qu'elle est bien nécessaire ...
Il faisait encore jour, bien que le soleil commençait à disparaître derrière les dunes au loin. Nous partons pour une mission de nuit ... C'est un accueil très sympathique alors que nous avons garé nos appareil hier matin. La base était si vaste qu'il était dure de ne pas s'y perdre. Et ce soir, on nous envois en mission, sans visibilité alors que nous n'avons jamais vu cette partie du globe. C'est une idée originale. Nous sommes peu à être qualifier pour le vol de nuit. De plus, nous n'avons aucune balise de guidage comme au pays et nous n'avons pas non plus tous les instruments nécessaire. Ce sera probablement un vol compliqué. Cependant, il devrait faire encore assez clair pour distinguer facilement le sol.
Il fait sombre dans la salle de briefing. Seule une lumière au plafond permet d'éclairer nos pas pendant que nous prenons place sur les banc. Sur la petite scène aménagé devant nous, le commandant fit son apparition tout en demandant si nous étions tous la. Après avoir regarder la salle pleine, il fit fermer la seule fenêtre qui était restée ouverte et éteindre la lumière. Le projecteur placé au milieu de la salle s'alluma et les informations nécessaire à la réussite de la mission sont apparues ...
Pendant près de 20 minutes, nous avons eu droit à un topo sur la situation dans le secteur. Ensuite, nous en sommes venu à la description de la mission. Pour cette dernière, nous n'avons prit qu'une dizaine de minutes. Il ne restait plus que le briefing du leader et puis nous pourrions profiter d'une demi heure pour nous préparer avant de monter dans nos avions. Mais c'est à ce moment qu'un officier de liaison est arrivé dans la salle. Apparemment, au vu de l'expression du visage du commandant, il n'était pas porteur de bonnes nouvelles ...
Le commandant est sorti précipitamment de la salle suivis de l'officier et du chef d'escadrille. Ce dernier nous donna l'ordre de resté dans la salle et de bien étudier les photo et la carte. Après une vingtaines de minutes, ils sont revenu. Il était déjà 18h15. Il ne restait plus que 15 minutes avant l'heure de décollage et personne n'était près à décoller. C'est alors que le commandant s'adressa à nous:
"Nos forces ont été attaqué il y a un peu moins d'une heure. Un groupe de chasseur bombardier à repérer et attaqué un convois de troupe qui se dirigeait vers El Djem. Les pertes sont lourdes. plus d'une centaines d'hommes ont été tué et près du double blessé. Les véhicules de commandement font partie des pertes. Nous avons aussi perdu beaucoup de matériel. Une colonne de char à été détruite et plusieurs véhicules de transports de troupes et de matériel. Les véhicules de transmissions ont aussi été perdu. Un nouveau groupe est parti il y a une demi heure avec des véhicule de transmission. Les troupes non détruite ont continuer la progression vers El Djem, mais l'assaut est reporté de 2 heures."
Le chef d'escadrille enchaina:
"Nous avons donc intervertis l'heure de patrouille avec l'escadron italien basé à Hani. Il commence donc leur patrouille maintenant et nous enchaineront à 20h30. L'information vient d'être relayé au BF 110. La mission ne change donc pas pour nous. Seulement l'heure. Les italiens ont la même mission que nous mais moins de matériel disponible, c'est pourquoi nous ne voulions pas qu'il protège le début de l'attaque. Cette joie nous est laissé.
On se retrouve aux avions à 20h15, décollage 20h30 ! Rompez !".
Après environ 2h d'attente et de préparation, nous avons décollez. Nous étions 8 Bf 109 et nous devions retrouver un groupe de 4 Bf110. Cependant, directement après le décollage, un des 8 Bf 109 du faire demi tour et se poser. La mission commençait bien. Nous sommes tous partit vers El Djem. On pouvait facilement se guider grâce à toutes les traçantes provenant de la zone de combat. Le combat avait l'air de prendre de l'ampleur. On pouvait voir des obus tomber sur une dizaine de kilomètres carrés autour de la base. Comme nous l'avait dit, la gare de la ville était tout illuminer. Les anglais savaient que nous ne toucherions pas à la gare. Il était clair que nous devions la garder pour les ravitaillements futurs.
Le ciel était bien dégagé au dessus de la base, mais on pouvait voir des projecteurs de recherches scruter les nuages et le ciel au dessus de la piste. Quelques minutes après notre arrivé, nous les avons détruit. De retour sur la base aux environs de 1 000m, nous avons repérer un groupe de bombardier 2 000 m au dessus de nous. On pouvait voir 6 ombres passer en dessous de la lune. Tous le groupes a commencer à prendre de l'altitude, mais l'escorte des bombardiers nous avait aussi repérer. Plusieurs beaufighter nous ont croisé et le combat s'engagea. L'un d'eux fut abattu. Une fois dégagé, tous le groupe se mit à la poursuite des bombardier. Mais dans la nuit noire, il était difficile de les repérer. C'est une fois sur Hani que nous les avons retrouver. La DCA de la villes et les projecteurs nous ont éclairer les cilbes. Mais le temps de les atteindre, 4 étaient déjà tomber. 3 Détruit par la DCA et une autre par les tir de la DCA et d'un Bf 110. Un dernier fut abattu par les Bf 109. Le dernier n'a jamais été retrouvé.
Après plusieurs minutes de recherches, nous sommes repartit vers El Djem et nous avons fait un dernier passage sur la ville et nos forces. La bataille semblait gagner sur la base mais nos forces ne semblaient plus avancer. Elles n'ont pas tenter de pousser jusqu'à la ville. Nous sommes resté quelques minutes et puis nous sommes rentré. Nous avons suivis la route à basse altitude jusque la base. Comme on nous l'avait signalé dans le briefing, le convois attaqué était ben la. De nombreux véhicules brulaient encore.
Une fois à la base, nous avons entamer la manœuvre d'approche. Nous n'avions perdu aucun appareil. Et puis la, un beaufighter qui semblait nous avoir suivis à surgit sur nous. Nous étions quatre en l'air autour de la base. A tour de rôle, nous l'avons endommager. Son moteur gauche crachant une fumée noire et sa direction arraché, le chasseur ennemi plongea vers le sol et s'écrasa à quelques centaines de mètres de la bases. Pendant notre atterrissage, on pouvait voir les flammes et la fumée s'échappant de la carcasse de l'avions ...
9/2/1941
Il faisait encore sombre quand nous avons entamer le briefing. Le soleil commençait a illuminer l'horizon, mais sans lumière, nous n'aurions rien pu voire dans la salle de briefing. Nous devions décoller vers 6h30, lorsque le soleil serait assez haut pour nous permettre de voir correctement le sol. Notre mission étant d'attaquer tous les convois qui tenterait de rejoindre Sfax.
A 6h30, nous avons rejoins nos avions, cependant, un épais brouillard recouvrait la piste. Il était difficile d'en voir le bout, mais nous devions quand même décollé. £Une fois en l'air et au dessus de la couche de brouillard, nous avons pu nous mettre en formation et nous avons prit un cap vers El Djem. On pouvait voir le long de la route les carcasse encore fumante d'appareils abattu durant la nuit. La base et la ville ne valait guerre mieux. On pouvait distinguer de nombreux bunker en flamme, les reste de pièce d'artillerie ou de blindé. Tous les camps avait du subir de lourde perte. On avait pu aussi repérer des groupes de véhicule tentant de rallier El Djem. Probablement du renfort et du ravitaillement pour nos force déjà présente.
Une fois au dessus de la ville, nous avons suivis la route en compagnie de Bf 110. Ceux-ci avaient les mêmes objectifs que nous. Après quelques minutes de vol, l'un des Bf 110 a lancé une attaque sur une position d'artillerie près d'un petit village qui longeait la route. Les bombes ont explosé au milieu du petit fort organisé par les anglais. Il devait y avoir pas mal de dégât. A quelques centaines de mètres de la, nous avons repérer les convois qui se dirigeait vers Sfax. Nous avons donc commencé notre attaque avec nos bombes. En un passage, près d'une dizaine de camions furent détruit.
C'est alors que les français ont signalé un grand groupe d'appareil venant de Sfax. Sous les ordres du leader, toutes la formation a cessé l'attaque des véhicule et a prit de l'altitude. Manque de chance, la DCA endommagea gravement un des appareil qui du rentré immédiatement. Celui-ci se posa sur le ventre près de nos troupe à El Djem. Le reste des Bf 109 entra en combat avec des hurricane et des P36. Bien qu'en infériorité numérique, nos pilotes ont pu s'en sortir face à la quinzaine d'appareil ennemi se trouvant en face. Notre groupe à permis la destruction d'au moins quatre appareils ennemi et d'une dizaine de véhicule. Une belle victoire comparé au perte subie par nos forces. Les Bf 110 qui ne sont pas entré dans le combat avec les chasseur ont cependant pu aussi détruire pas mal d'ennemi. L'un d'entre eux à pu abattre 5 bombardiers ennemi à lui seul. Ceux-ci se dirigeaient vers El Djem pour bombarder la gare. Mais aucune bombe n'a atteint nos installation.
Une fois rentré à la base, le debriefing fut long, mais les résultat de tous les groupes présent ce matin sont clair. Les forces anglaise au sol et en l'air ont été presque totalement éliminé. Ce matin, nous avons remporté une grande victoire.
10/2/1941
Nos forces sont aux portes de Sfax. Les anglais ont compris qu'il ne pourraient pas tenir plus longtemps et évacuent tous ce qu'ils peuvent. Après le déjeuné, nous partions encore en briefing pour une mission. Depuis notre arrivé, elles s'enchainent a une vitesse folle. C'est notre troisième jour en Afrique et c'est aussi notre troisième sortie.
Une fois dans la salle, nous avons reçu nos ordres de missions: "Détruisez la base de Sfax et faites un maximum de dégât aux anglais !" La mission était clair et l'objectif simple. Nous avons pris l'air vers 10h30 avec nos Bf 109 équipé pour certains de bombes de 250 kg et pour d'autres de bombes de 50 kg. Nous étions 12 sur la piste, mais a nouveaux la malchance frappait. Seulement 11 appareils on prit l'air. Le dernier ayant un problème durant le roulage à larguer sa bombe en urgence a quelques centaines de mètres après le bout de piste et c'est posé en urgence a coté de la base. Le choc fut violant et l'appareil se disloqua ...
Nos 11 appareils restant sont donc parti vers Sfax. Sur le trajet, nous avons pu repérer quelques véhicules sur les routes. Ceux-ci avançaient vers le front. Une fois en vue de la zone de combat, les groupes ce sont séparer en deux. Le premier devait larguer les bombes et puis grimper pour se mettre en couverture et le second devait poursuivre l'attaque avec leurs bombes, mitrailleuses et canons.
En atteignant la base, on a pu voir décoller une multitude d'appareils en urgence. Il y avait des hurricane, des gladiator et des C 47. Lors du premier passage, plusieurs d'entre eux ont été détruit alors qu'il tentaient de prendre l'air. De notre coté, une défaillance du système d'armement des bombes nous fit perdre un autre Bf 109. La minuterie qui devait s'enclencher pour retarder l'explosion n'a pas fonctionné et le chasseur fut souffler par l'explosion de sa propre bombe. La carcasse en flamme de l'appareil c'est écrasé une cinquantaine de mètre à coté de la piste. Finalement, seul deux hurricane, un gladiator et deux C 47 ont pu décoller. Les autres ont été détruit au sol. Alors que nos chasseur détruisaient chaque appareil encore au sol, le premier groupe se chargea de détruire un maximum d'appareil en l'air. Au bout de quelques minutes, la base étant totalement rasé, tous les appareils ont commencé a chassé ceux qui restaient en l'air. Rapidement un gladiator et tombé et deux Swordfish l'ont suivis ainsi qu'un hurricane. En contre partie, la DCA avait éliminé un de nos appareil qui tenta de rentré jusque dans nos ligne. Un second, bien que moins endommagé du faire pareil. Les reste du groupe restant sur la zone pour infliger un maximum de dégât à l'ennemi.
La moitié de nos avions étaient déjà manquant et ceux qui étaient encore sur la cible n'allait pas tarder à rentrer. C'est alors que deux nouveaux hurricane entrèrent en combat. Ceux-ci n'étaient pas sur la base, mais derrière un des deux chasseur endommagé. Après avoir appelé à l'aide, le pilote du se poser en urgence dans le désert, près d'une route et d'une position d'artillerie allemande. Content de leur victoire, les deux hurricane tournaient autour de l'appareil crashé quand une partie des avions encore en arrière leurs sont tombé dessus.
En infériorité numérique, il n'ont pu résisté que quelques minutes avant d'être abattu.
Une fois de retour à la base, nous avons pu compter qu'il manquait près de la moitié des avions et que deux de nos pilotes avaient été tué. D'autres étaient porté disparu ou devaient rentré d'ici peu en voiture.
Malgré nos pertes, nous avons pu éliminer tous ce qu'il restait de la base. Les anglais ne pourraient plus l'utiliser pour envoyer des bombardiers léger harceler nos forces ou pour évacuer du matériel. C'est encore un petit pas vers Sfax!
12/2/1941
Carnage en mer
Alors qu'au sol notre victoire est écrasante, les pertes en mer sont désastreuse. Cette semaines, nos pertes s'élèvent à 2 destroyer et plusieurs cargo. Malgré notre supériorité aérienne dans la zone, les beaufighter et les beaufort ennemis ne cesse stopper nos navire. Avec la prise de Sfax, nous ne pouvons laissé une de nos voie de ravitaillement en proie aux bombardiers ennemis. Le port et les navires nous sont donc désormais vital pour la poursuite de notre avancé. Nous ne pouvons continuer à perdre homme et matériel de cette manière !
13/2/1941
Vers la fin de la matinée, nous avons prit l'air. Une petite patrouille de deux schwarm de Bf 109. Notre mission était de surveiller le ciel au dessus d'un convois se dirigeant vers Sfax. Une fois à proximité de Sfax, nous avons infléchit notre route vers le sud - est ou le convois devait se trouver. Mais en tournant la tête vers Sfax, on pouvait voire de nombreux tire provenant de la Flak. Une attaque était en cours et les pilotes de Bf 110 chargé de la protection de la ville signalait plusieurs appareils à basse altitude mais ils ne réclamaient aucune aide. Nous avons donc poursuivis notre route. Une fois à la verticale des navires, nous avons commencé a tourner autour d'eux.
Après plusieurs minutes, nous avons repérer des contactes mais a chaque fois, il s'agissait d'appareil italiens ou allemand. Mais en scrutant l'horizon, on pouvait toujours distinguer les combats qui se déroulait à Sfax. Quelques fois, nous entendions des transmissions radio de nos appareils qui étaient en combat. Mais notre secteur restait calme.
Peu de temps avant de partir, nous avons tout de même repérer un contacte suspect au niveau des plages. Nous avons donc décidé de l'identifier. C'était un PBY anglais. En moins de 2 minutes, nous avions atteint son altitude et après quelques rafales, l'appareil ennemi perdit de l'altitude pour finir sa course a quelques dizaines de mètre de l'eau. La plus part des membres d'équipage semblait avoir eu le temps de sauter.
Ensuite, nous avons continuer à patrouiller pendant quelques minutes. Une fois nos appareils de relèvent arrivé, nous avons quitté la zone et atterrit à la base. Nous n'avions perdu aucun appareil. Cependant, l'un d'entre nous eu un soucis au freinage et fit un cheval de bois mais mis à part son hélice, rien n'était cassé.
C'était une bonne journée pour nous et l'après midi nous été laissée libre.
14/2/1941
Cela fait une semaine que notre escadrille est déployé en Afrique. En une semaine, la ligne de front à avancé de plusieurs dizaine de kilomètres. Nous avons abattu de nombreux appareils ennemi et perdu plusieurs des nôtres. Cependant, le moral de nos force est au plus haut. L'ennemi est chaque jour obligé de reculer un peu plus. D'après les informations, ils sont désormais retranché plus au sud. Une forte position nous est signalé au niveau de château au nord de Chekira. Cependant, le commandement ne souhaite pas encore attaqué:
"Il nous faut consolidé nos positions, reposé nos troupes et révisé nos canon avant de marché sur Tripoli !".
Après les sévères perte que nos forces ont subis en allant vers Sfax, il était nécessaire de nous regrouper et de recevoir des renforts. Venu directement d'Allemagne, nous avons reçu de nouveaux pilotes et de nouveaux avions ! Plus chanceux que nous, ils ont une semaine pour s'adapter au climat sans être envoyer en première ligne directement. Pendant cette courte semaine de vacance, nous seront remplacé au front par une autre escadrille.
20/2/1941
Nos courtes vacances sont finies et nous sommes de retour au travail. Bien que nous n'avions pas quitté l'aérodrome car nous n'étions pas officiellement en permission, cette semaine de pause nous a fait du bien. Notre escadrille est donc de nouveau mobilisé en première ligne pour l'opération que prévoit l'état major ...
Ce matin, vers 8h, un groupe de bombardiers venant de Sicile est arrivé à El Djem. Notre mission était de les protéger pendant leur atterrissage. Pendant que nous décollions, deux Junker 88 de notre base démarraient leurs moteurs. Leur mission était d'aller prendre des photos des bases aérienne anglaise pour trouver leur bombardiers.
Une fois sur El Djem, le vol fut assez calme. Seul quelques appareils de transports sont passé dans notre secteurs. Ce n'était pas une mission a risque, il y avait peu de chance de trouver un ennemi aussi loin derrière nos ligne. Cependant, le vol n'était pas aussi calme dans le secteur de Sfax. D'où nous étions, nous pouvions apercevoir des tir de DCA et nous pouvions entendre a la radio que des bombardiers attaquaient le port. Après une quinzaine de minute, tout était redevenu calme. Les He 111 finissait de se poser et nous avons pu quitter le secteur. Une fois à la base, nous avons atterrit et pu nous diriger vers la salle de débriefing.
Après le débriefing, deux camions sont arrivé à la base. Le premier ramenait l'équipage d'un des deux junker et le second certaines pièces. Probablement l'appareil photo. En discutant avec le pilote, nous avons appris que le second junker à tenté d'attirer la chasse ennemie loin de lui pour lui permettre de rentrer avec les photo. Sa manœuvre à réussi, mais il n'en est pas revenu ...
Le soleil se coucha et un officier de l'état major vient nous rendre visite avec les ordres de demain. Il amenait aussi quelques nouvelles du front. A savoir que ce matin, à Sfax, un croiseur lourd italiens qui quittait le port à été coulé par un groupe d'A20 et que Sfax a été pilonné par un navire ennemi. Cependant, personne n'a pu le repérer depuis.
Les photo de reconnaissances:
La base de Médenine: On distingue plusieurs hangar assez important et de nombreux bimoteur et quelques quadrimoteur. On remarque aussi plusieurs chasseurs.
La ville de Médenine: On peut distinguer deux batterie anti aérienne ainsi que deux convois sur la route.
La base de Bou Grara: On ne trouve que des monomoteurs sur la base.
21/2/1941
7h00, le réveil sonne et péniblement nous sortons tous de nos couchettes pour nous diriger vers le réfectoire. Nous avions moins d'une heure pour nous préparer et manger avant de devoir rejoindre la salle de briefing. Ce matin, le soleil brillait de mille feux. Seul quelques nuages, solitaire, osait se dresser face au soleil et par moment nous apporté un peu d'ombre. Le climat dans le désert est assez pénible. Les journées chaudes séparé par de longue nuit froide épuisent les pilotes autant que le sable épuisent nos avions.
Cependant, chaque jours, nous devions être prêt à décoller et à attaquer l'ennemi.
8h00 Le réfectoire est remplit par tous les pilotes de l'escadrille. Un officier ouvrit la porte et appela tous le monde au briefing. Rapidement, nous finissions nos déjeuné et nous allions vers la petite salle ou le commandant nous attendait.
"Aujourd'hui, votre mission est d'escorter les Heinkel qui sont arrivé hier. Ceux-ci ont pour objectif la base de Médenine. Pour vous aider, les Bf 110 de la ZG 2 vous rejoindrons pour prendre part à l'escorte. Vous retrouverez les He 111 dans les alentours de El Djem. Les Bf 110 vous rejoindront à Sfax.
Comme vous le savez, le secteur que vous allez attaqué regroupe pas moins de 4 aérodromes. Vous risquez de rapidement être surclassé en nombre. Mais dans tous les cas, protéger les bombardiers. Ils nous sont vitaux.
Nous avons fait le plein de carburant dans vos appareil. Soyez près à décoller dans une heure !"
22/2/1941
Alerte ! Sfax est attaqué !
Le soleil était en train de se coucher, mais nous devions décoller d'urgence. Un appareil de reconnaissance avait repérer de nombreux char en approche et un cuirassé avait commencé à pilonner la ville et le port. Il était environ 18h15. Une fois en l'air, nous avons prit la direction d'El Djem et puis nous avons tourner vers Sfax. Il était très probable que l'ennemi lance une attaque aérienne pour supporter les forces au sol. Avant même d'atteindre la ville, plusieurs contacte ont été repérer. Une grande formation de bombardiers se dirigeait vers Sfax et des hurricane attaquaient nos colonnes de char sur la route. Séparer en petit groupe, une partie s'est lancé à la poursuite des bombardiers, d'autres ont attaqué les hurricanes.
Malgré le fait que nous étions peu sur les A 20, nous avons pu en abattre 4 et en endommagé fortement un dernier. Cependant, le moteur d'un de nos pilote toucher l'obligea à rentrer protéger par son leader. Cependant, il n'atteindra pas la base, son moteur est tombé en panne à 15 kilomètres de la piste.
Une fois à la base, c'est une sacré surprise qui attendait les autres Messerschmitt de retour à court de munition et de carburant. Des Beaufighter ont attaqué la base et détruit l'ensemble des Ju 88 qui y était stationné. Plusieurs réserves d'essence et quelques chasseurs. Cela nous met donc hors combat pour plusieurs jour.
Malgré cela, nous avons réussis à endommagé légèrement le cuirassé ennemi. Cela l'a obligé à quitté sa position après avoir perdu une partie de son armement lourd. Les Stuka à l'origine de l'attaque ont endommagé les deux tourelles arrière de celui-ci. Cependant, le retour fut quelque peu difficile. A commencé que la nuit était désormais tombé et qu'ils sont arrivé sur notre base durant l'attaque. Finalement, ils ont réussis à surprendre les bimoteurs ennemis et à en détruire deux avant de réussir à sortir de la mêlée pour rentrer chez eux.
23/2/1941
Notre base est hors de combat pour une période d'une semaine. Du nouveau matériel devrait nous être livré. En attendant, c'est une autre escadrille basé avec les Bf 110 qui va prendre le relai. D'ici une semaine, nous allons recevoir nos nouveaux Bf 109 E7/B. Cependant, nous ne recevrons pas de bombardiers pour remplacer les Ju 88 perdu. Ceux-ci seront basé plus loin dans nos lignes.
Nos nouveaux Bf 109 E7/B sont les dernier appareils sorti de l'usine. Ceux-ci peuvent être équipé de réservoir auxiliaire qui devrait nous permettre d'atteindre Tripoli. Cependant, on parle déjà d'un autre appareil en cours de test, le Bf 109 F. Il est probable que d'ici quelques moi ont reçoivent ce nouvel appareil qui serait plus performant que nos Emil actuel !
Dernière édition par BJ=Bomber le Dim 29 Déc 2013 - 16:22, édité 4 fois
Wulf alias Bomber- Invité
Re: Annonces, évènements et film (Allemand)
Mars 1941
01/03/1941
C'est tard dans la soirée d'avant hier que nos nouveaux appareils sont arrivé.
Depuis une semaines nous ne pouvions plus effectué de vol sur la ligne de front car nous manquions d'essence et d'avion. Cependant, en une semaine, la base était quasiment réparer et nous avions reçu les nouveaux Bf 109 E7/B.
Hier, après les avoir repeint à nos couleurs, nous avons reçu les ordres pour ce matin. Malgré les pertes subie au début de la semaine, nos forces ont bien tenu le coup. Malgré que Sfax soit en ruine et que nous étions hors combat ainsi qu'une partie des groupes de bombardiers de la régions, nous avions empêché les anglais de reprendre Sfax. Eux aussi avait souffert de lourdes pertes.
Cependant, il était très probable que les anglais tentent une nouvelle percé d'ici peu. C'est pourquoi l'état major a décidé de lancer une offensive sur le fort de Chekira. Un vaste groupe de blindé appuyé par des Bf 110 et des bombardiers français doit percé les lignes ennemies et s'emparer de Chekira. Le plan est assez fou mais nos stratège compte sur l'effet de surprise. Ils pensent que les anglais nous croient pour l'instant vulnérable.
Il était l'heure de décoller. Chacun des chasseurs étaient aligné sur la piste et près à décoller. Depuis la tour improvisé sur notre gauche, un des hommes nous donna le signe du départ. Trois paires de deux Messerschmitt décollèrent en même temps. La moitié de nos avions était en l'air et l'autre moitié quittaient le sol juste derrière. La formation était splendide. Ajouter à nos douze chasseurs, on pouvait distinguer, à la base des nuages, une large formation de bombardier Français. Cependant, leur faible vitesse nous empêcha de rester près d'eux.
Quelques minutes plus tard, ce sont les Bf 110 qui nous ont rejoins. Nous étions à la tête de cette longue colonne d'avions. Près à engagé l'adversaire. Arrivé sur zone, la bataille avait déjà commencé au sol. Cela était normal. Mais en l'air, une autre bataille venait de commencer. Un petit groupe d'Hurricane venait d'arriver et avait prit pour cible un appareil de reconnaissance aux couleur de nos allié Français. Avant que l'on puisse intervenir, le Fokker G1, en flamme s'écrase au milieu des colonne de blindé qui avançaient vers les Bunker ennemis. Ceux-ci faisait littéralement pleuvoir des kilos de projectiles sur nos blindé.
Les anglais se défendais bien mais nous avions l'avantage de garder le contrôle du ciel. Malgré l'arrivé d'un petit groupe de Beaufighter, l'ennemi n'a pu faire face aux nombre d'appareil que nous avons aligné. Plusieurs appareils ont rapidement été descendu. En quelques minutes, seul des avions aux croix noire restaient en l'air. Nos char approchaient du QG anglais partiellement détruit par les Bf 110 et ces derniers, après avoir largement arrosé les bimoteurs anglais, entamaient leur retour.
Peu de temps après eux, nous somme reparti à notre tour avec quasiment aucune perte. Jusqu'à ce qu'au environs de la base des Bf 110 nous repérions un quadrimoteur anglais.
Seul face à nos quatre chasseur, il n'avait aucune chance. Déjà touché à plusieurs reprise, il a tenté une manœuvre pour s'échapper. Malheureusement, ce virage la directement amené sur le numéro deux de notre formation. A la seconde où les avions ce sont percuté, une large explosion secoua le ciel. De nombreux débris fumant où encore en flamme tombaient vers le sol mais sans aucun parachute.
Dix minutes plus tard, nous étions à la base.
Peu de temps après notre atterrissage, nous avons appris que plusieurs groupes de char anglais avaient repousser nos force qui tentaient d'entrer dans Chekira. Les pertes sont élevé mais équivalente à celle des anglais. Ils ne tenteraient pas de lancer une nouvelle attaque sur Sfax.
03/03/1941
Il est 5h20, l'alerte est donnée ! Nous étions tous encore en train de dormir quand la sirène et les appels du commandant retentissaient dans toute la base:
"Des bombardiers arrivent ! Il y a près de 30 appareils ! Ils se dirigent probablement sur El Djem ! Décollage immédiat !"
En moins de 5 minutes, nous étions habillé et prêt à décoller. Les moteurs de nos Messerschmitt démarraient les uns après les autres et les pilotes commençaient à s'aligner sur la piste.
5h25, nous sommes tous aligné et autorisé à décoller. L'ennemi n'est plus qu'a quelques kilomètre de Sfax. Il nous faut faire vite pour grimper les intercepter avant qu'il n'arrive sur El Djem.
Une fois aux alentours de 5 000m, au dessus de El Djem, la formation était rassemblée. A côté de ne Bf 109 se trouvaient des MS 410 de nos amis de Français Vichy. Ce serait une bataille terrible pour eux. La formation qui nous fonçaient dessus était aussi composé de Français.
Après quelques minutes de vol, nous avons repérer et engager les bombardiers ennemis. Rapidement, plusieurs, en flamme, allèrent s'écraser. On pouvait voir différent appareil traverser la formation de Wellington. Il y avait des Bf 09, des Bf 110, des Ms 410, des Hurricanes et des D 520. C'étaient une mêlée impressionnante. Finalement, malgré un bon nombre d'appareil perdu ou endommagé, nous avons pu abattre deux tiers des assaillants.
Cependant, El Djem n'était pas leur cible. Hani fut bombarder mais la gares n'avait que peu de dégâts.
L'interception fut donc une réussite, mais nos chasseurs ont à nouveau payer cette victoire très cher.
Malheureusement, cette nuit la, des bombardiers sont revenu. bien qu'en plus petit nombre, leur bombardement à couper nos lignes de ravitaillement.
04/03/1941
Malgré nos soucis d'approvisionnement, l'état major à décider de lancer une vaste offensive dans les jours qui suivent. Une nouvelle escadrille de bombardier est venue remplacer celle qui fut détruite au sol le mois précédent.
Ce matin, nous devons simplement protéger les préparatifs de l'opération en couvrant nos convois sur les routes à proximité de Sfax.
La mission fut tranquille jusqu'à l'arrivée de trois hurricane en patrouille.
Bien qu'en infériorité numérique, les trois pilotes anglais ont offert un remarquable combat face aux chasseurs allemands et italiens dans la régions. Ce n'est que quelques heures après la fin de celui-ci que nous avons appris que les anglais ont perdu deux de leurs grand As du front méditerranéens ce matin. Apparemment partis pour une mission de reconnaissance, les hurricanes ne seraient jamais rentré à Médenine.
Malgré la perte de trois de nos appareils et d'un de nos pilote, c'est une bonne nouvelle qui arrive peu de temps avant le début de l'attaque sur Chekira.
08/03/1941
04h50
Ce fut une courte nuit pour pas mal d'entre nous. La journée s'annonçait très difficile. Il faisait encore sombre mais la première vague de l'attaque contre la forteresse de Chekira s'allignait sur la piste. Nous étions plusieurs à l'extérieur de nos baraquement pour regarder les appareils décoller ...
Chacun à leur tours les six Dornier 17 Z2 ont décollé et prit le cap de El Djem où ils doivent rejoindre un groupe de Ju 88 et une escorte italienne ...
05h55
Le soleil s'est levé depuis peu. Des bruits de moteurs se font entendre. Les Dorniers reviennent à la base. Dans un premier temps, trois bombardiers sortent des nuages et vire pour s'aligner à la piste. Quelques minutes plus tard, un groupe de deux autres bombardiers fit son apparition. En quinze minutes, tous les appareils avaient atterrit. Il n'en manquait qu'un seul, abattu par la DCA.
07h00
Nous sommes tous rassembler dans la salle de briefing pour notre première sortie de la journée.
"Notre première sortie s'effectuera dans une heure. Les nouvelles du front sont très bonnes. Nos forces ont prit position autour de la forteresse de Chekira qui est actuellement en flamme. On estime que les forces ennemies encore présente sont minime. Cependant, l'assaut attendra 10h00. Nous auront pour mission de couvrir cet assaut.
Cependant, notre mission de 08h00 est différente. Nos avions de reconnaissance ont signalé que la base de Chekira contenait de nombreux bombardiers et de nombreux chasseurs. Il est donc impératif de raser cette base !
08h00
Nous étions tous sur la piste, prêt à décoller. Le temps semblait parfait. Il ne faisait ni trop chaud, ni trop froid. Il n'y avait pas beaucoup de nuage et on nous avait indiqué un vent très léger. Nos 8 Messerschmitt étaient tous aligné et attendaient le signale de départ. Une fois arrivé, les deux schwarm ont prit l'air en quelques instants.
Il ne fallu pas longtemps pour arriver sur le point de rendez vous avec les Bf 110. Une fois avec eux, nous avons tous prit le cap vers la cible. En moins de 15 minutes, nous étions arrivé au niveau de la forteresse de Chekira. Seul des tirs d'artilleries et quelques maisons en ruines permettait de repérer qu'un combat se préparait.
Nous arrivions en territoire ennemi. Désormais, il ne suffisait que de quelques instants pour que les chasseurs adverses soient prévenu et décolle pour nous intercepter. Cependant, pour la base de Chekira, notre cible, il était trop tard.
En quelques minutes, les Bf 110 ont rasé la plus part des installations ennemies. Les quelques appareils tentant de décollé furent pulvérisé par le souffle des bombes ou par les passage de nos 8 Bf 109. En moins de 15 minutes, la base aérienne fut rasé.
Une vingtaines d'appareils furent détruit au sol comme en l'air. En grande majorité, des chasseurs qui on tenté de prendre l'air pour défendre la base. Les Bf 1109 ont également détruit leurs réservent de carburant et plusieurs bâtiment. La piste semblait totalement impraticable.
Ce fut une démonstration de forces impressionnantes pour les anglais dans les environs. De nombreux véhicules sur la route qui devait les amené à la forteresse ce sont arrêté pour venir en aide au soldat sur la base où aux pilotes qui après avoir réussi à décollé ont eu la chance de pouvoir s'éjecter. Cependant, cela leur a couté aussi cher puisqu'un train de marchandise qui passait à proximité de la base fut lui aussi détruit.
10h00
Moins d'une heure avant la mission précédente, nous étions reparti pour attaquer l'ennemi. Les Bf 109 s'alignaient sur la piste. Certains venaient a peine de sortir des ateliers de réparations. Dés que le signal fut donné, les 8 appareils prirent l'air et se dirigèrent vers Chekira. En 15 minutes et en faisant attention de garder une altitude de sécurité, nous sommes arrivé sur la forteresse.
Au sol, le combat faisait déjà rage. Nos blindé avançaient vers les positions ennemies qui crachaient un feux terrible. Mais, notre artillerie, elle aussi, avait du répondant. Le combat était plus qu'incertains. En observant plus attentivement, nous avons remarqué trois biplans à très basse altitude. Il y avait deux Gladiator et un appareil de reconnaissance. En quelques instant, à trois contre huit, les appareils anglais furent mis en déroute et abattu. Mais directement, d'autres appareils arrivèrent. Cette fois-ci, c'était un Brewster Buffalo et des Fokker D XXI. Tous les trois avaient les marquage des forces aériennes néerlandaise. Il s'agissait probablement de pilote ayant fuis les Pays Bas au début de la guerre.
Il ne fallut que quelques minutes à nouveau pour les mettre en déroute. Cependant, ceux-ci ont pu s'enfuir. Seul un Fokker fut gravement endommagé. Il y a peu de chance qu'il ait pu rejoindre sa base.
Quelques instant plus tard, un groupe d'appareils italiens fit son apparition. Il y avait trois Fiat Cr 42 armé de bombes et plusieurs Mc 200 chargé de leur protection. Ceux-ci ont placé leur bombe sur la forteresse qui était déjà en flamme. Cependant, malgré cette attaque, les anglais ne pliaient pas. L'issue de la bataille semblait encore incertaine.
Un de leurs avant poste était déjà tombé, mais plusieurs autres semblait inapprochable. Les canons anglais réduisaient en pièce les blindé qui tentaient de s'en approcher. Ceux qui passaient faisaient ensuite face à un train blindé qui semblait indifférent aux tirs d'obus.
C'est alors qu'un groupe de Stuka est arrivé. Trois d'entre eux ont prit pour cible la position d'artillerie et trois autres ont attaqué le train. L'attaque fut rapide et deux bombes atteignirent leurs cibles. Dans un premier temps, la positions d'artillerie fut pulvérisé par une bombe de 500 kg qu'un des Stuka avait larguer au cours de son piqué. Ensuite, un autre Stuka a placé sa bombe en plein dans le train qui a explosé directement. De plus, l'explosion des munitions contenue dans le train à détruit une partie des véhicules qui se trouvaient à proximité.
Dés lors, le seul avantage que gardait les anglais fut détruit et la quasi totalité des défense de leur flanc est furent pulvérisé. En à peine 20 minutes, nos char ont fait plié les dernières poches de résistance et ont encerclé la forteresse. En une seule vague, l'une des principales positions fortifié anglaise venait de tombé. Nos forces l'ont désormais dépassé et font route vers Gabes.
Le général en charge de l'attaque se réjuissait déjà:
"Ce soir, nous serons à Gabes, et demain, nous serons à Médenine. A cette vitesse, les anglais feraient mieux de commencer à évacuer Tripoli !."
01/03/1941
C'est tard dans la soirée d'avant hier que nos nouveaux appareils sont arrivé.
Depuis une semaines nous ne pouvions plus effectué de vol sur la ligne de front car nous manquions d'essence et d'avion. Cependant, en une semaine, la base était quasiment réparer et nous avions reçu les nouveaux Bf 109 E7/B.
Hier, après les avoir repeint à nos couleurs, nous avons reçu les ordres pour ce matin. Malgré les pertes subie au début de la semaine, nos forces ont bien tenu le coup. Malgré que Sfax soit en ruine et que nous étions hors combat ainsi qu'une partie des groupes de bombardiers de la régions, nous avions empêché les anglais de reprendre Sfax. Eux aussi avait souffert de lourdes pertes.
Cependant, il était très probable que les anglais tentent une nouvelle percé d'ici peu. C'est pourquoi l'état major a décidé de lancer une offensive sur le fort de Chekira. Un vaste groupe de blindé appuyé par des Bf 110 et des bombardiers français doit percé les lignes ennemies et s'emparer de Chekira. Le plan est assez fou mais nos stratège compte sur l'effet de surprise. Ils pensent que les anglais nous croient pour l'instant vulnérable.
Il était l'heure de décoller. Chacun des chasseurs étaient aligné sur la piste et près à décoller. Depuis la tour improvisé sur notre gauche, un des hommes nous donna le signe du départ. Trois paires de deux Messerschmitt décollèrent en même temps. La moitié de nos avions était en l'air et l'autre moitié quittaient le sol juste derrière. La formation était splendide. Ajouter à nos douze chasseurs, on pouvait distinguer, à la base des nuages, une large formation de bombardier Français. Cependant, leur faible vitesse nous empêcha de rester près d'eux.
Quelques minutes plus tard, ce sont les Bf 110 qui nous ont rejoins. Nous étions à la tête de cette longue colonne d'avions. Près à engagé l'adversaire. Arrivé sur zone, la bataille avait déjà commencé au sol. Cela était normal. Mais en l'air, une autre bataille venait de commencer. Un petit groupe d'Hurricane venait d'arriver et avait prit pour cible un appareil de reconnaissance aux couleur de nos allié Français. Avant que l'on puisse intervenir, le Fokker G1, en flamme s'écrase au milieu des colonne de blindé qui avançaient vers les Bunker ennemis. Ceux-ci faisait littéralement pleuvoir des kilos de projectiles sur nos blindé.
Les anglais se défendais bien mais nous avions l'avantage de garder le contrôle du ciel. Malgré l'arrivé d'un petit groupe de Beaufighter, l'ennemi n'a pu faire face aux nombre d'appareil que nous avons aligné. Plusieurs appareils ont rapidement été descendu. En quelques minutes, seul des avions aux croix noire restaient en l'air. Nos char approchaient du QG anglais partiellement détruit par les Bf 110 et ces derniers, après avoir largement arrosé les bimoteurs anglais, entamaient leur retour.
Peu de temps après eux, nous somme reparti à notre tour avec quasiment aucune perte. Jusqu'à ce qu'au environs de la base des Bf 110 nous repérions un quadrimoteur anglais.
Seul face à nos quatre chasseur, il n'avait aucune chance. Déjà touché à plusieurs reprise, il a tenté une manœuvre pour s'échapper. Malheureusement, ce virage la directement amené sur le numéro deux de notre formation. A la seconde où les avions ce sont percuté, une large explosion secoua le ciel. De nombreux débris fumant où encore en flamme tombaient vers le sol mais sans aucun parachute.
Dix minutes plus tard, nous étions à la base.
Peu de temps après notre atterrissage, nous avons appris que plusieurs groupes de char anglais avaient repousser nos force qui tentaient d'entrer dans Chekira. Les pertes sont élevé mais équivalente à celle des anglais. Ils ne tenteraient pas de lancer une nouvelle attaque sur Sfax.
03/03/1941
Il est 5h20, l'alerte est donnée ! Nous étions tous encore en train de dormir quand la sirène et les appels du commandant retentissaient dans toute la base:
"Des bombardiers arrivent ! Il y a près de 30 appareils ! Ils se dirigent probablement sur El Djem ! Décollage immédiat !"
En moins de 5 minutes, nous étions habillé et prêt à décoller. Les moteurs de nos Messerschmitt démarraient les uns après les autres et les pilotes commençaient à s'aligner sur la piste.
5h25, nous sommes tous aligné et autorisé à décoller. L'ennemi n'est plus qu'a quelques kilomètre de Sfax. Il nous faut faire vite pour grimper les intercepter avant qu'il n'arrive sur El Djem.
Une fois aux alentours de 5 000m, au dessus de El Djem, la formation était rassemblée. A côté de ne Bf 109 se trouvaient des MS 410 de nos amis de Français Vichy. Ce serait une bataille terrible pour eux. La formation qui nous fonçaient dessus était aussi composé de Français.
Après quelques minutes de vol, nous avons repérer et engager les bombardiers ennemis. Rapidement, plusieurs, en flamme, allèrent s'écraser. On pouvait voir différent appareil traverser la formation de Wellington. Il y avait des Bf 09, des Bf 110, des Ms 410, des Hurricanes et des D 520. C'étaient une mêlée impressionnante. Finalement, malgré un bon nombre d'appareil perdu ou endommagé, nous avons pu abattre deux tiers des assaillants.
Cependant, El Djem n'était pas leur cible. Hani fut bombarder mais la gares n'avait que peu de dégâts.
L'interception fut donc une réussite, mais nos chasseurs ont à nouveau payer cette victoire très cher.
Malheureusement, cette nuit la, des bombardiers sont revenu. bien qu'en plus petit nombre, leur bombardement à couper nos lignes de ravitaillement.
04/03/1941
Malgré nos soucis d'approvisionnement, l'état major à décider de lancer une vaste offensive dans les jours qui suivent. Une nouvelle escadrille de bombardier est venue remplacer celle qui fut détruite au sol le mois précédent.
Ce matin, nous devons simplement protéger les préparatifs de l'opération en couvrant nos convois sur les routes à proximité de Sfax.
La mission fut tranquille jusqu'à l'arrivée de trois hurricane en patrouille.
Bien qu'en infériorité numérique, les trois pilotes anglais ont offert un remarquable combat face aux chasseurs allemands et italiens dans la régions. Ce n'est que quelques heures après la fin de celui-ci que nous avons appris que les anglais ont perdu deux de leurs grand As du front méditerranéens ce matin. Apparemment partis pour une mission de reconnaissance, les hurricanes ne seraient jamais rentré à Médenine.
Malgré la perte de trois de nos appareils et d'un de nos pilote, c'est une bonne nouvelle qui arrive peu de temps avant le début de l'attaque sur Chekira.
08/03/1941
04h50
Ce fut une courte nuit pour pas mal d'entre nous. La journée s'annonçait très difficile. Il faisait encore sombre mais la première vague de l'attaque contre la forteresse de Chekira s'allignait sur la piste. Nous étions plusieurs à l'extérieur de nos baraquement pour regarder les appareils décoller ...
Chacun à leur tours les six Dornier 17 Z2 ont décollé et prit le cap de El Djem où ils doivent rejoindre un groupe de Ju 88 et une escorte italienne ...
05h55
Le soleil s'est levé depuis peu. Des bruits de moteurs se font entendre. Les Dorniers reviennent à la base. Dans un premier temps, trois bombardiers sortent des nuages et vire pour s'aligner à la piste. Quelques minutes plus tard, un groupe de deux autres bombardiers fit son apparition. En quinze minutes, tous les appareils avaient atterrit. Il n'en manquait qu'un seul, abattu par la DCA.
07h00
Nous sommes tous rassembler dans la salle de briefing pour notre première sortie de la journée.
"Notre première sortie s'effectuera dans une heure. Les nouvelles du front sont très bonnes. Nos forces ont prit position autour de la forteresse de Chekira qui est actuellement en flamme. On estime que les forces ennemies encore présente sont minime. Cependant, l'assaut attendra 10h00. Nous auront pour mission de couvrir cet assaut.
Cependant, notre mission de 08h00 est différente. Nos avions de reconnaissance ont signalé que la base de Chekira contenait de nombreux bombardiers et de nombreux chasseurs. Il est donc impératif de raser cette base !
08h00
Nous étions tous sur la piste, prêt à décoller. Le temps semblait parfait. Il ne faisait ni trop chaud, ni trop froid. Il n'y avait pas beaucoup de nuage et on nous avait indiqué un vent très léger. Nos 8 Messerschmitt étaient tous aligné et attendaient le signale de départ. Une fois arrivé, les deux schwarm ont prit l'air en quelques instants.
Il ne fallu pas longtemps pour arriver sur le point de rendez vous avec les Bf 110. Une fois avec eux, nous avons tous prit le cap vers la cible. En moins de 15 minutes, nous étions arrivé au niveau de la forteresse de Chekira. Seul des tirs d'artilleries et quelques maisons en ruines permettait de repérer qu'un combat se préparait.
Nous arrivions en territoire ennemi. Désormais, il ne suffisait que de quelques instants pour que les chasseurs adverses soient prévenu et décolle pour nous intercepter. Cependant, pour la base de Chekira, notre cible, il était trop tard.
En quelques minutes, les Bf 110 ont rasé la plus part des installations ennemies. Les quelques appareils tentant de décollé furent pulvérisé par le souffle des bombes ou par les passage de nos 8 Bf 109. En moins de 15 minutes, la base aérienne fut rasé.
Une vingtaines d'appareils furent détruit au sol comme en l'air. En grande majorité, des chasseurs qui on tenté de prendre l'air pour défendre la base. Les Bf 1109 ont également détruit leurs réservent de carburant et plusieurs bâtiment. La piste semblait totalement impraticable.
Ce fut une démonstration de forces impressionnantes pour les anglais dans les environs. De nombreux véhicules sur la route qui devait les amené à la forteresse ce sont arrêté pour venir en aide au soldat sur la base où aux pilotes qui après avoir réussi à décollé ont eu la chance de pouvoir s'éjecter. Cependant, cela leur a couté aussi cher puisqu'un train de marchandise qui passait à proximité de la base fut lui aussi détruit.
10h00
Moins d'une heure avant la mission précédente, nous étions reparti pour attaquer l'ennemi. Les Bf 109 s'alignaient sur la piste. Certains venaient a peine de sortir des ateliers de réparations. Dés que le signal fut donné, les 8 appareils prirent l'air et se dirigèrent vers Chekira. En 15 minutes et en faisant attention de garder une altitude de sécurité, nous sommes arrivé sur la forteresse.
Au sol, le combat faisait déjà rage. Nos blindé avançaient vers les positions ennemies qui crachaient un feux terrible. Mais, notre artillerie, elle aussi, avait du répondant. Le combat était plus qu'incertains. En observant plus attentivement, nous avons remarqué trois biplans à très basse altitude. Il y avait deux Gladiator et un appareil de reconnaissance. En quelques instant, à trois contre huit, les appareils anglais furent mis en déroute et abattu. Mais directement, d'autres appareils arrivèrent. Cette fois-ci, c'était un Brewster Buffalo et des Fokker D XXI. Tous les trois avaient les marquage des forces aériennes néerlandaise. Il s'agissait probablement de pilote ayant fuis les Pays Bas au début de la guerre.
Il ne fallut que quelques minutes à nouveau pour les mettre en déroute. Cependant, ceux-ci ont pu s'enfuir. Seul un Fokker fut gravement endommagé. Il y a peu de chance qu'il ait pu rejoindre sa base.
Quelques instant plus tard, un groupe d'appareils italiens fit son apparition. Il y avait trois Fiat Cr 42 armé de bombes et plusieurs Mc 200 chargé de leur protection. Ceux-ci ont placé leur bombe sur la forteresse qui était déjà en flamme. Cependant, malgré cette attaque, les anglais ne pliaient pas. L'issue de la bataille semblait encore incertaine.
Un de leurs avant poste était déjà tombé, mais plusieurs autres semblait inapprochable. Les canons anglais réduisaient en pièce les blindé qui tentaient de s'en approcher. Ceux qui passaient faisaient ensuite face à un train blindé qui semblait indifférent aux tirs d'obus.
C'est alors qu'un groupe de Stuka est arrivé. Trois d'entre eux ont prit pour cible la position d'artillerie et trois autres ont attaqué le train. L'attaque fut rapide et deux bombes atteignirent leurs cibles. Dans un premier temps, la positions d'artillerie fut pulvérisé par une bombe de 500 kg qu'un des Stuka avait larguer au cours de son piqué. Ensuite, un autre Stuka a placé sa bombe en plein dans le train qui a explosé directement. De plus, l'explosion des munitions contenue dans le train à détruit une partie des véhicules qui se trouvaient à proximité.
Dés lors, le seul avantage que gardait les anglais fut détruit et la quasi totalité des défense de leur flanc est furent pulvérisé. En à peine 20 minutes, nos char ont fait plié les dernières poches de résistance et ont encerclé la forteresse. En une seule vague, l'une des principales positions fortifié anglaise venait de tombé. Nos forces l'ont désormais dépassé et font route vers Gabes.
Le général en charge de l'attaque se réjuissait déjà:
"Ce soir, nous serons à Gabes, et demain, nous serons à Médenine. A cette vitesse, les anglais feraient mieux de commencer à évacuer Tripoli !."
Wulf alias Bomber- Invité
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