Kommandogeräte
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Kommandogeräte
Le Système de contrôle de tir est un terme collectif désignant une technique à l'aide de laquelle un projectile d'un système d'arme (généralement des grenades, des obus, des missiles guidés ou des torpilles) peut être amené aussi précisément que possible à la cible.
Avant l'introduction des systèmes de détection et de guidage électroniques tels que les systèmes radar, laser ou infrarouge, des systèmes optiques étaient utilisés.
Par exemple, pendant la Seconde Guerre mondiale, des systèmes optiques ont été utilisés sur des navires de guerre qui, avec le soutien de systèmes informatiques électromécaniques, ont pu aligner les canons et suivre les cibles en mouvement.
Canon anti-aérien de 8,8 cm avec un ordinateur de contrôle de tir de la Seconde Guerre mondiale
sources :
www-kfzderwehrmacht-de
https://www.analogmuseum.org
https://www.panzer-bau.de
T-1408-Luft-Einsatz-von-FuMG-Flak
Avant l'introduction des systèmes de détection et de guidage électroniques tels que les systèmes radar, laser ou infrarouge, des systèmes optiques étaient utilisés.
Par exemple, pendant la Seconde Guerre mondiale, des systèmes optiques ont été utilisés sur des navires de guerre qui, avec le soutien de systèmes informatiques électromécaniques, ont pu aligner les canons et suivre les cibles en mouvement.
Canon anti-aérien de 8,8 cm avec un ordinateur de contrôle de tir de la Seconde Guerre mondiale
Sommaire
- Kommandohilfsgerät 35
- Kommandogerät 40
sources :
www-kfzderwehrmacht-de
https://www.analogmuseum.org
https://www.panzer-bau.de
T-1408-Luft-Einsatz-von-FuMG-Flak
Dernière édition par CROC le Jeu 20 Avr 2023 - 19:03, édité 1 fois
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Benvenguda al Pays - La légende de l'avion vert
CROC- Oberst
- Croix de chevalier avec feuilles de chêne, glaives et brillants6eme récompense à la Participation à la vie de l'escadrilleService Hangar 3Membre expert du service HangarService Entrainement 3Instructeur expertService informatique 2Informaticien expérimenté
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Kommandohilfsgerät 35
Le Kommandohilfsgerät 35, ou dispositif auxiliaire de commande 35 en français, était un ordinateur de conduite de tir purement mécanique qui a été développé entre 1930 et 1935 pour les batteries anti-aériennes lourdes de 8,8 cm et a été utilisé si le dispositif de commande, généralement un Kommandogerät 40, tombait en panne.
Le Kommandohilfsgerät 35 n'était utilisé comme ordinateur de secours qu'en cas de panne de l'ordinateur principal de conduite de tir, situé à environ à 500 mètres des canons anti-aériens.
Cette valeur est ensuite définie manuellement par un soldat sur l'appareil. Deux autres soldats utilisent des optiques pour suivre constamment la cible de vol.
Les valeurs de vitesse angulaire ainsi obtenues se traduisent par des valeurs d'avance.
Les temps qui s'écoule entre le moment de la mesure avec le télémètre, la rentré des donnée par l’opérateur informatiques et le tir de l’artilleur anti-aériens, ainsi que le temps de vol de l'obus anti-aérien vers la cible, sont converti par l'ordinateur en correction d'angles d'attaque pour le tir indirecte.
D'autres paramètres que l'ordinateur inclus dans le calcul de l'angle d'attaque étaient, par exemple, la température de la poudre, l'état et le rainurage du tube et la densité de l'air.
Entre le télémètre et le Kommandohilfsgerät 35 d'une part et entre le Kommandohilfsgerät 35 et les canons anti-aériens d'autre part, il y avait une communication via des téléphones de campagne. La valeur mesurée du télémètre était communiquée par téléphone d'un soldat du télémètre à un soldat du Kommandohilfsgerät 35 et réglée par ce dernier.
Les valeurs calculées et lues par le Kommandohilfsgerät 35 pour l'élévation du canon et l'angle de visée du canon du canon, ainsi que le retard d'allumage des obus anti-aériens, sont ensuite transmises par trois soldats du Kommandohilfsgerät 35 aux opérateurs des canons anti-aériens par téléphone de campagne.
Au total, 14 hommes étaient nécessaires pour la mesure, l'évaluation et la communication, dont 9 hommes au Kommandohilfsgerät 35, 4 hommes au télémètre installé à quelques mètres et le chef d'escouade.
Le comportement de vol de la cible n'est pas non plus inclus dans le calcul.
Malgré cet aide technologique, environ 4 000 tirs ont été nécessaires pour détruire une cible de vol. Il faut noter que des assistants anti-aériens, qui n'avaient pas encore l'âge légal, ont également été utilisés sur cet appareil.
Le Kommandohilfsgerät 35 n'était utilisé comme ordinateur de secours qu'en cas de panne de l'ordinateur principal de conduite de tir, situé à environ à 500 mètres des canons anti-aériens.
Technologie de mesure et processus informatiques
La distance de la cible en vol est mesurée avec un télémètre à image tridimensionnelle, le télémètre 4m-Entfernungsmeßgerät abrégé en Em-4mR(H), qui était situé à quelques mètres du Kommandohilfsgerät 35.Cette valeur est ensuite définie manuellement par un soldat sur l'appareil. Deux autres soldats utilisent des optiques pour suivre constamment la cible de vol.
Les valeurs de vitesse angulaire ainsi obtenues se traduisent par des valeurs d'avance.
Les temps qui s'écoule entre le moment de la mesure avec le télémètre, la rentré des donnée par l’opérateur informatiques et le tir de l’artilleur anti-aériens, ainsi que le temps de vol de l'obus anti-aérien vers la cible, sont converti par l'ordinateur en correction d'angles d'attaque pour le tir indirecte.
D'autres paramètres que l'ordinateur inclus dans le calcul de l'angle d'attaque étaient, par exemple, la température de la poudre, l'état et le rainurage du tube et la densité de l'air.
Entre le télémètre et le Kommandohilfsgerät 35 d'une part et entre le Kommandohilfsgerät 35 et les canons anti-aériens d'autre part, il y avait une communication via des téléphones de campagne. La valeur mesurée du télémètre était communiquée par téléphone d'un soldat du télémètre à un soldat du Kommandohilfsgerät 35 et réglée par ce dernier.
Les valeurs calculées et lues par le Kommandohilfsgerät 35 pour l'élévation du canon et l'angle de visée du canon du canon, ainsi que le retard d'allumage des obus anti-aériens, sont ensuite transmises par trois soldats du Kommandohilfsgerät 35 aux opérateurs des canons anti-aériens par téléphone de campagne.
Au total, 14 hommes étaient nécessaires pour la mesure, l'évaluation et la communication, dont 9 hommes au Kommandohilfsgerät 35, 4 hommes au télémètre installé à quelques mètres et le chef d'escouade.
Évaluation
Des erreurs de fonctionnement et de communication ont entraîné quelques erreurs lors de la détermination des valeurs de tir du Kommandohilfsgerät 35.Le comportement de vol de la cible n'est pas non plus inclus dans le calcul.
Malgré cet aide technologique, environ 4 000 tirs ont été nécessaires pour détruire une cible de vol. Il faut noter que des assistants anti-aériens, qui n'avaient pas encore l'âge légal, ont également été utilisés sur cet appareil.
Caractéristiques
[tableau]
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Kommandogerät 40
Le Kommandogerät 40, ou l'unité de commandement 40 en français, était un ordinateur de contrôle de tir pour la défense anti-aérienne de la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale.
Le Kommandogerät 40 détermine des coordonnées dans l'espace tridimensionnel en liaison avec le télémètre à image tridimensionnelle connecté "Em4mR40" (télémètre stéréo avec une longueur de base de 4 m). Il pouvait calculer les coordonnées des cibles sur des trajectoires courbes.
La masse à vide de l'appareil en position de combat était d'environ 1 600 kilogrammes.
Il était capable de détecter une cible à une altitude allant jusqu'à 12 000 mètres sur une distance de 1 200 à 18 000 mètres.
L'appareil visait la cible à l'aide du télémètre Em-4m-R40, puis calculait les paramètres, c'est-à-dire l'angle d'élévation des canons, la direction de tir et les données pertinentes pour le calage des détonateurs d'obus. L'information est ensuite transmise directement aux groupes d'artillerie par câble.
exemple d'utilisation avec radar Freya
Le personnel d'exploitation était composé de cinq personnes. Une semi-remorque Sd.Anh.52 a été utilisé pour transporter l'appareil.
Le Commando 40 était le plus souvent utilisé avec des canons de 88 mm (par exemple 8,8-cm Flak 18 ou 36) et des canons de 105 mm (par exemple 8,8-cm Flak 38 et 39).
Le Kommandogerät 40 détermine des coordonnées dans l'espace tridimensionnel en liaison avec le télémètre à image tridimensionnelle connecté "Em4mR40" (télémètre stéréo avec une longueur de base de 4 m). Il pouvait calculer les coordonnées des cibles sur des trajectoires courbes.
Conception et fonction
Le Kommandogerät 40 a été développé chez Zeiss Ikon à Dresde avec l'introduction des premiers exemplaires en 1937, mais n'a été utilisé à plus grande échelle qu'en 1941.La masse à vide de l'appareil en position de combat était d'environ 1 600 kilogrammes.
Il était capable de détecter une cible à une altitude allant jusqu'à 12 000 mètres sur une distance de 1 200 à 18 000 mètres.
L'appareil visait la cible à l'aide du télémètre Em-4m-R40, puis calculait les paramètres, c'est-à-dire l'angle d'élévation des canons, la direction de tir et les données pertinentes pour le calage des détonateurs d'obus. L'information est ensuite transmise directement aux groupes d'artillerie par câble.
exemple d'utilisation avec radar Freya
Le personnel d'exploitation était composé de cinq personnes. Une semi-remorque Sd.Anh.52 a été utilisé pour transporter l'appareil.
Le Commando 40 était le plus souvent utilisé avec des canons de 88 mm (par exemple 8,8-cm Flak 18 ou 36) et des canons de 105 mm (par exemple 8,8-cm Flak 38 et 39).
Caractéristiques
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