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Message  furieux Jeu 30 Mar 2023 - 14:49

Classe Suffren

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À la fin des années 90 la question du remplacement de la classe Rubis se pose déjà. En effet cette classe devait durer 25 ans, donc arriver à terme à partir de 2007. Mais la fin de la guerre froide encourage le gouvernement à prolonger la durée de vie des Rubis de 10 années supplémentaires minimum. On estime qu'il faut entre 15 et 20 ans pour mener un projet de sous-marins nucléaires de nos jours. L'heure est donc à l'anticipation, et aux économies. Un premier programme est lancé conjointement avec les Britanniques, car il est vrai que nos intérêts convergent. Eux devaient remplacer les Trafalgar, mais beaucoup plus tôt que les Rubis, alors ce problème de calendrier a enterré le programme. De plus, les industriels français étaient frileux de travailler avec les Britanniques car leurs visions sont totalement opposées quant à la manière de faire un sous-marin. Les Britanniques ont donc continué le programme de leur côté qui aboutit à la classe Astute, dont la tête de série est mise en service en 2010.

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En 1998 donc, le gouvernement français confie à Naval Group et TechnicAtome l'élaboration, la construction et l'entretien du programme "Sous-Marins d'Attaque du Futur" (SMAF). Il est décidé d'en construire 6. Les restrictions budgétaires vont retarder considérablement le programme passant de 2015 à 2022 la mise en service du Suffren. Étonnement les ambitions françaises en termes de sous-marins sont assez énormes. Le programme voit totalement sa direction changée. Les Rubis ne seront pas juste remplacés, ils seront remplacés par des sous-marins surpassant tous les autres pour les 40 prochaines années. En parallèle deux programmes sont lancés, celui des torpilles F21 et celui des MdCN Missiles de Croisière Naval. C'est la naissance du programme Barracuda. Ce programme coûte 9,1 milliards d'euros au contribuable français, dont 1,1 milliards par sous-marin. L'ENSM (École de Navigation Sous-Marine) est agrandie avec 7 simulateurs, la darse des sous-marins à Toulon est agrandie et modernisée.

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En 2016 un pays est venu se rattacher au programme Barracuda. C'est l'Australie qui conclut avec Naval Group le "contrat du siècle". 30 milliards d'euros pour 12 Suffren sans propulsion nucléaire. Mais ce contrat est annulé en 2021 au profit de sous-marins à propulsion nucléaire américains.

La conception de cette classe a débuté en 2002. Il s'agit d'un engin d'une grande complexité : chaque sous-marin comprend 700 000 composants élémentaires, 70 000 assemblages, 500 systèmes ou sous-systèmes, 200 applications informatiques totalisant 21 millions lignes de code, 20 kilomètres de canalisations et 150 kilomètres de câblages électriques. Environ 10 000 personnes participent à sa construction. Ils travaillent principalement à Naval Group, Technicatome, la DGA (Direction Générale de l'Armement) et le CEA (Commissariat à l'Énergie Atomique). La construction du Suffren a représenté 50 millions d'heures de travail dans ces entreprises et 20 millions d'heures chez les sous-traitants répartis dans toute la France.

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La technologie à bord des Suffren est une version améliorée de celle des Triomphants et non pas de celle des Rubis. Ils ont une longueur de 99 mètres, pour 8,8 mètres de diamètre. Ils sont deux fois plus lourds que les Rubis avec 5 200 tonnes. La profondeur maximale est augmentée, et d'après les informations que la Marine Nationale veut bien nous donner elle est supérieure à 350 mètres, mais inférieure à 1000 mètres. Ils sont plus silencieux, tous les équipements reposent sur des suspensions qui empêchent le bruit. Les Suffren peuvent embarquer 24 armes, dont des MdCN (Missiles de Croisière Navals) qui font des Suffren à la fois des SSN (Ship Submersible Nuclear) équivalent Otanien du terme SNA et ils sont aussi des SNGN (Ship Submersible Guided missile Nuclear) en français Sous-marins Nucléaire Lanceur de Missiles, terme qui n'a pas d'équivalent en France. Ils ont également la possibilité d'embarquer un pod de plongeur sur le dos pour permettre de lâcher et récupérer les plongeurs, ce qui était également possible avant mais ceux-ci étaient lâchés et récupérés par les tubes lances torpilles. Pour la première fois des sous-marins Français sont féminisés, mais dans une petite mesure, pas plus de 5 femmes par équipage. En terme de vivre les Suffren sont au niveau des Triomphants avec 70 jours de vivres.

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Pour revenir à la discrétion, ils reprennent la technique de répartir du liège sur toute la coque, technique utilisée pour la première fois sur les Redoutable. Un programme est en cours sur le SNLE 3G qui sera peut-être exploité aussi sur les Suffren, c'est l'utilisation de tuiles anéchoïques de manière rétroactive, c'est à dire qu'il s'agit d'un kit de tuiles à placer sur la partie externe de la coque, elles sont généralement en caoutchouc ou en sorbothane. Leur rôle est d'absorber le son produit par l'intérieur du sous-marin vers l'extérieur, mais également absorber les sons des sonars actifs en déformant le signal reçu. Cette technologie est apparue pendant la seconde guerre mondiale côté allemand sur le Type VII Alberich (U-480), unique exemplaire. Alberich est un sorcier de la mythologie germanique qui a la capacité de se rendre invisible. À l'époque, elle réduisait la portée des sonars alliés de 2000 mètres à 300 mètres. Les opérations de maintenance sont réduites, et l'automatisation toujours plus présente ce qui permet d'avoir seulement 65 marins presque deux fois moins que n'importe quel sous-marins équivalent (les autres faisant 14 mètres de plus maximum). Cette automatisation permet également d'augmenter la durée entre deux maintenances ; 7 ans pour les Rubis, et 10 ans pour les Suffren.

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La coque des Suffren utilise une version francisée de l'acier HY-100 (utilisé sur les SSN Virginia). Ils ont la même résistance à la pression que l'acier des Rubis, ce qui lui donne également l'appellation 80 HLES, Haute Limite d'Élasticité Soudable. 80 veut dire que si l'on fabrique un fil de section 1mm avec cet acier il conserve son élasticité jusqu'à 80 kg de poid suspendu. S'il ne conserve pas son élasticité l'acier se déforme sans revenir à l'état initial.
Pour la première fois les safrans ne sont pas en forme de "+" mais en croix de Saint-André (×). Ce qui permet de les utiliser même si l'un de ceux-ci tombe en panne, ils servent à la fois pour le lacet et le tangage (théoriquement au roulis aussi mais il n'y a aucun intérêt d'utiliser cet axe).

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Thales et SAGEM (devenu Safran) sont les principaux industriels équipant en capteurs les Suffren. Le sonar de coque est un UMS-3000 de Thales, les Rubis et De Grasse seront équipés du sonar qui équipera les SNLE 3G. Un sonar remorqué très basse fréquence de Thales. Également un sonar actif SEACLEAR qui détecte les mines dans un champ allant de 50 centimètres à 1 km. Il fonctionne dans la bande 36-72 KHz. L'équivalent du RWR, le Sonar Warfare Receiver VELOX-M8, qui détecte les sonar actifs via un système d'alerte quand les sonars passifs captent un sonar actif. Thales fait également le sonar actif de Navigation, qui sert à "cartographier" la zone, c'est le NUSS-2F mk2. Ces sonars sont en général deux fois plus grands que ceux des rubis. Les contre-mesures sont développées par Naval Group. Les contre-mesures électroniques Canto-s font partie du système NEMESIS. Elles sont peu nombreuses car la probabilité qu'un radar détecte un sous-marin est très basse. L'existence de ce faible risque est la raison d'être de ces contre-mesures. Pour contrer les sonars, Naval Group a développé les mines acoustiques FG29 qui sont là pour créer la confusion chez une torpille ou créer suffisamment de bruit sur un sonar pour que les opérateurs perdent la signature acoustique du sous-marin. (Pour plus d'informations sur le fonctionnement des sonars : https://blitzjager.1fr1.net/t4046-fra-sna-classe-rubis#22462)

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Safran s'occupe de la partie mâts. Ils en équipent deux sur les Suffren, le premier le Serie 30 MOA (Mât Optronique d'Attaque). Pour la première fois sur un sous-marin français les périscopes sont entièrement numériques ce qui fait un gain de place énorme dans le sous-marin. Ils fonctionnent avec une caméra couleur en HD et également en infrarouge (3-5μm). L'autre mât, le Serie 30 MOV (Mât Optronique de Veille) fonctionne de la même façon. Avant le PCO (Poste Central Opération) là où tout se passe, était sous le kiosque car les tubes des périscopes étaient ici. Maintenant qu'ils sont supprimés le PCO est légèrement reculé pour laisser plus de place à vivre.

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La partie propulsion est réalisée par TechnicAtome, Le but est de faire plus silencieux et compact que ceux des Rubis et Redoutable. Le K15 est donc né. Il développe une puissance thermique de 150 MW (puissance Propulsive inconnue). Ce réacteur équipe les classes Triomphant et Suffren pour les sous-marin, et le Charles de Gaulle qui possède deux K15 à son bord. Les Suffren ne possèdent pas uniquement une propulsion nucléaire, ils ont également une propulsion électrique de secours développant 20 MW de puissance propulsive. Cette propulsion permet d'atteindre la vitesse de 14 kt en surface, et de 27 kt en plongée.

En termes de communication, les Suffren comme les Rubis sont maîtres dans l'art par rapport aux autres nations possédants des SNA. Les Suffren possèdent un mât satellite de Thales, le DIVESAT, qui communique avec les satellites Syracuse III remplacés bientôt par la constellation Syracuse IV qui devrait être opérationnelle courant 2023-2024. (pour plus d'informations sur Syracuse Smile. Les Suffren disposent de 2 liaisons supplémentaires par rapport aux Rubis, la raison n'est pas technique cette fois, mais politique. La France ayant rejoint l'OTAN en 2007, elle peut utiliser les liaisons Otaniennes pour limiter les coûts d'une fabrication maison comme la Liaison 11 sur les Rubis. Les Suffren possèdent donc la Liaison 11, la Liaison 16 et la Liaison 22 (amélioration de la liaison 11). Le Suffren possède aussi un téléphone sous-marin de Thales, le TUUM-5 Mk2 (amélioration de ceux utilisés sur Rubis et Triomphant). Dans la sous-marinade française, le petit nom de ce téléphone est "Gertrude". Celui-ci fonctionne en émettant des ondes acoustiques. La portée est donc très petite. Lorsque le sous-marin est à moins de 20 mètres de la surface, il peut communiquer avec du personnel sur la côte via du morse.

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Le rythme de vie à bord du sous-marin est le même que pour les Rubis ou Triomphant. 2 équipages (bleu et rouge) composés de 65 hommes chacun se relayant tous les 4 mois (en fonction des besoins de la marine). La vie d'un équipage suit le même déroulement à chaque fois. Premièrement l'entraînement à terre quand le sous-marin est entre les mains de l'autre équipage, ensuite ce dernier en revenant de mission va aider l'équipage servant d'exemple à remettre sur pied le navire quelque temps. Suite à ça le sous-marin part dans en cale sèche pour des grosses maintenances. Ensuite le "bateau noir" fait ses essais à la mer, puis reviens faire les dernières maintenances à quai. Et après une période d'entraînement pas plus longue d'une semaine maximum en général, le sous-marin appareille pour sa mission entre 2 à 6 mois. Une fois revenu l'équipage aide le suivant à le prendre en main et rendre compte de son état. Et pour finir l'équipage part en vacances.

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L'armement est le même que sur les Rubis actuels à une différence, l'emport du MdCN et une augmentation de 10 armes supplémentaires. Les Suffren possèdent 4 tubes lances torpilles de 533 mm.


La torpille F21 a une longueur de 6 m pour un diamètre de 533 mm et une masse de 1 550 kg. Sa vitesse est de 50 kt pour une portée estimée à 50 km. Elle peut naviguer entre 10 et 500 mètres. Petite nouveauté par rapport à sa prédécesseure la F17, la F21 deux hélices contrarotatives qui fonctionnent grâce à un moteur électrique approvisionné en électricité par des batteries composées d'oxyde d’argent/aluminium (AgO-Al). Le guidage est classique, d'abord une phase filoguidée par fibre optique et à une distance très très proche du but, le sonar actif de la torpille prend le relais. Il peut également prendre le relais si le câble rompt pendant l'attaque. Elle est perçue depuis 2019 à bord des SNLE et des SNA français uniquement. 93 exemplaires sont commandés.

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SM-39 exocet. Cette version de l'exocet est tirée depuis un sous-marin. Le missile est contenu dans une capsule qui sert de torpille, les coordonnées du but sont pré-enregistrées. La capsule est tirée, va vers l'objectif puis sort de l'eau en suivant un angle de 45°. Le missile est éjecté et prend le relais jusqu'à atteindre une altitude de 3 mètres. À 15 km de la cible, le radar actif commence son balayage et guide l'exocet. Ce missile mesure 5,21m de long, pour 1m d'envergure et 750kg.



MdCN (Missile de Croisière Naval). Les MdCN plongent la Marine Nationale dans une tout autre dimension. Ces missiles sont développés en 2006 par MBDA pour armer les FREMM (Frégate Européenne Multi-Mission) françaises. Le missile coûte 2,86 millions d'euros. 50 MdCN ont été commandés pour les Suffren. Les MdCN sont propulsés par un turboréacteur de 2,5~3,4 kn de poussée (Safran TR-50). Ils pèsent 1 400 kg, font 6,5 mètres de long pour 53 cm de diamètre. La charge explosive est de 250 kg. Sa vitesse est de mach 0,80. Sa portée est estimée à 1000 km. Son guidage est multiple, GPS, inertiel, topographique pour le vol en croisière, et radar, infrarouge en phase terminale. Leur précision est métrique. Ce missile est l'équivalent Français du BGM-109 Tomahawk Américain, sauf que les MdCN n'ont pas la capacité d'emporter une charge nucléaire. Dans la Marine Nationale, la personne qui décide de l'emploi d'une arme est le commandant, mais les MdCN sont considérés comme des armes stratégiques (au sens politique du terme). La décision d'en employer revient au Premier Ministre ou le CEMA (Chef d'État Major des Armées).

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Caractéristiques de la classe


ClasseSuffren
Navires de la classeS-635 "Suffren" / S-636 "Duguay-Trouin" / S-637 "Tourville" / S-638 "De Grasse" / S-639 "Rubis" / S-640 "Casabianca"
Chantiers NavalsCherbourg
Longueur99,5 mètres
Largeur8,5 mètres
Tirant d'eau7,3 mètres
tirant d'air8,4 mètres
Déplacement en surface4 650 tonnes
Déplacement en plongée5 300 tonnes
immersion maximale>350 mètres
Propulsion1 réacteur nucléaire K15 de 150 MW et un moteur électrique de secours 20 MW
Vitesse max en plongée27 kt
Portéeillimitée
Armement4 tubes lances torpilles de 533 mm à l'avant 24 armes maximum. Torpille F21, SM-39 Exocet, MdCN
Équipage65 marins


Dernière édition par furieux le Jeu 30 Mar 2023 - 15:24, édité 2 fois
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Message  furieux Jeu 30 Mar 2023 - 15:22

S-635 "Suffren" (Q-284)


Le SNA Suffren est le 108 ème navire construit à Cherbourg. La première découpe est réalisée en 2007, et l'assemblage de la coque en 2016. 400 ouvriers travaillent sur chaque sous-marin. Pour la première fois, la réalité virtuelle est utilisée sur un chantier naval. Il est mis à l'eau en août 2019. Ses essais en mer débutent en avril 2020 avec un équipage de 90 marins au lieu de 65. En juillet 2020 il passe ses qualifications à l'armement en effectuant les tirs de F21, SM-39 et MdCN. Après 1 an d'essais à la mer, le Suffren est livré à la Marine Nationale en avril 2021. Sa mise en service traîne car la Marine Nationale veut le tester dans toutes les configurations possibles afin de déterminer l'emploi qu'elle pourrait faire des Suffren. Bien qu'il soit officiellement en service en juin 2022, sa première mission a durée moins d'un mois pour le tester une dernière fois. Il est opérationnel depuis janvier 2023.

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S-636 "Duguay-Trouin"


Le Duguay-Trouin a vu le jour en 2009 avec la découpe de la première tôle. Il est mis sur cale en 2016, et mis à l'eau en septembre 2022. Sa première plongée a eu lieu le 30 mars 2023, pour une livraison espérée avant la fin de l'année. Il est prévu qu'il entre au service actif en 2024.

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S-637 "Tourville"


La première découpe du Tourville était en 2011. Il est lancé le 20 juillet 2023, et déplacé hors de son hangar pour le dispositif de mise à l'eau. Celle-ci est prévue début 2024 la même année que sa livraison à la DGA. La mise en service est pour 2025.

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S-638 "De Grasse"


La construction du De Grasse débute en 2015, sa mise à l'eau est prévue en 2025 pour une livraison en 2026 et une mise en service en 2027.

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S-639 "Rubis"


Le Rubis 3ème du nom reprend l'héritage du Rubis de la Seconde Guerre mondiale et du SNA Rubis retiré du service en décembre 2022. Sa construction commence en 2019, sa mise à l'eau est prévue en 2027, sa livraison en 2028 et sa mise en service en 2029.

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S-640 "Casabianca"


Tout comme le Rubis le Casabianca reprend l'héritage de deux sous-marins, le Casabianca de la Seconde Guerre mondiale comme annoncé plus tôt et le SNA Casabianca toujours en service jusqu'à l'horizon 2027-2029. Sa construction commence en 2020, sa mise à l'eau est prévue en 2028, sa livraison en 2029 et sa mise en service en 2030 pour clôturer la Classe Suffren.

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