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Message  furieux Sam 14 Jan 2023 - 1:30

Classe Daphné


FRA - SA - Classe Daphné Car_Daphne

Après les deux classes des deux extrêmes, la plus imposante Narval et la plus petite Aréthuse, l'État-Major en 1952 décide de lancer une classe qui se situerait entre les deux à fin de terminer la nouvelle flotte de sous-marins pour les décennies à venir. L'État-Major adresse donc au Service Technique des Constructions Navales (STCAN) une note d'un projet de nouveau sous-marin torpilleur de 2ème classe. Cette note comprend un cahier des charges dont les 5 principales caractéristiques sont :
Une immersion périscopique aussi grande que possible (c'est-à-dire avoir un grand diamètre de coque et un kiosque/massif haut).
Une profondeur d’immersion un peu plus importante que celle des précédents Narval et Aréthuse.
13 kt en plongée, 6 en marche silencieuse et 7 au schnorchel.
Au minimum 6 tubes lance-torpilles intérieurs dont 4 d'étrave, 2 arrière et 14 torpilles de réserve.
une DLT (Direction de Lancement de Torpilles) semblable à celle des Narval, les tubes arrière étant surtout destinés aux lancements défensifs sur adversaire "menaçant".
Il était également demandé que les machines, instruments et équipements soient automatisés le plus possible à l’image des Aréthuse (Selon les limites de l’époque bien entendu). Celà permet de limiter le personnel par poste et surtout le temps d'entretien. Les Daphné devraient pouvoir aller dans les zones d'opération des Narvals pour les suppléer, donc une grande autonomie est demandée. 11 Sous-marins sont commandés. C’est la plus grande commande de sous-marins depuis la seconde guerre mondiale en France. La construction du Daphné commence en 1958 et celle du dernier de la classe le Sirène en 1964.

La détection sous-marine est assurée par une groupement microphonique, un télémètre acoustique (en 1977, la Doris reçoit, à titre expérimental, un " Fénelon", télémètre de la troisième génération de CIT-Alcatel) et un sonar moderne. Cet appareillage est complété par un goniomètre, un analyseur de fréquences et un détecteur de cavitation. Les moteurs sont également sur suspensions acoustiques ce qui améliore grandement la discrétion acoustique. Les Daphné portent 12 tubes lance-torpilles de 550 mm, à manœuvre entièrement automatique, répartis entre un groupement de 8 intérieurs à l'avant et 4 extérieurs à l'arrière. Les tubes, à lancement discret par l'intermédiaire d'un refouloir, peuvent lancer à la vitesse et l'immersion maximum du sous-marin. Depuis la modernisation, entreprise depuis 1971, l'armement torpille est mis en œuvre par une DLT D-3 de CIT-Alcatel. Un radar et un intercepteur d'émissions radar permettent de neutraliser la menace aérienne.

Sur le papier les Daphné sont les meilleurs sous-marins de ce tonnage pour l'époque, mais à force de vouloir pousser la technologie trop loin, trop vite, elle nous dépasse comme en témoigne le nombre d'accident impressionant sur cette classe, digne de sous-marins de la seconde guerre mondiale. 2 ont été perdu et plein quasiment tous ont au moins eu 2 accidents. Les accidents mortels ne sont pas d'origine humaine d'où leur difficulter à les gérer pour l'équipage.

FRA - SA - Classe Daphné 8P7zqWU

Au cours de leur carrière les Daphné ont connu 2 types de torpilles :

FRA - SA - Classe Daphné Histo02

E14 : ces torpilles sont des versions raccourcies de l’E-12 pour son emploi dans des sous-marins de petite taille. Elles sont entrées en service en 1960. Ce sont bien évidemment des torpilles de 550 mm, affichant un petit gabarit de seulement 4,2 m. Leur poids est d’1,6 tonne. La charge explosive est de 200 kg. Cependant elles sont très lentes pour des torpilles avec leur 25 kt pour une portée de 5000 m. Un changement de composant dans la batterie pousse la vitesse de la torpille à 35 kt.

FRA - SA - Classe Daphné 640px-FS_Redoutable_torpilles

F-17 : Les F-17 sont des torpilles construites par DTCN (Directions des Constructions Navales) à partir des années 70. Ces torpilles sont embarquées sur les Daphné à partir de leur modernisation. Elles sont propulsées par des batteries à l’oxyde d’argent (qui ne sont pas encore sur le marché civil) qui entraînent deux hélices contre rotatives pour empêcher le roulis induit et maintenir un cap. Son gabarit est plus imposant que l’E-14 avec ici 6 m de long et 900 kg. Leur portée connue est de 18 000 m à 35 kt et 29 000 m à 24 kt. La grande innovation de cette nouvelle torpille c’est qu’elle est filoguidée avec des sonars passifs. C'est-à-dire qu’un opérateur guide la torpille à l’aide d’un très long câble de cuivre (cinquantaine de kilomètres). Pour l’aider à trouver le but (la cible) la torpille écoute les sons émis par le but et ainsi l’opérateur peut diriger la torpille efficacement. Ce type de guide est la norme actuelle.

Pour la première fois des sous-marins français vont être exportés et ce dans 4 pays différents : Le Portugal, l’Espagne, le Pakistan, et l’Afrique du sud.

[b]Portugal[/b]
.NomChantierSur caleLancéEn serviceDésarmé
S163-ALBACORADubigeon, Nantes10-196610-19672000
S 164-BARRACUDADubigeon, Nantes4-19674-19682009
S 165-CACHALOTEDubigeon, Nantes2-19681-1969-
S 166-DELFIMDubigeon, Nantes9-196810-19692006
FRA - SA - Classe Daphné Pr_ss_7

[b][b][b][b][b][b][b][b]Espagne[/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b]
.Nom[ChantierSur caleLancéEn service]Désarmé
S 61-DELFINBazan3-19725-19737-2003
S 62-TONINABazan10-19727-19739-2005
S 63-MARSOPABazan3-19744-19754-2006
S 64-NARVALBazan12-197411-19751-2003
FRA - SA - Classe Daphné Submarino-Delfin-S61-Torrevieja-1

Pakistan
.NomChantierSur caleLancéEn serviceDésarmé
S 131-HANGORDCAN Brest6-19691-1970-
S 132-SHUSHUKC.N. La Ciotat7-19691-1970-
S 133-MANGROC.N. La Ciotat2-19708-1970-
S 134-GHAZI (ex Cachalote Portugal)Dubigeon, Nantes2-19681-1969-
FRA - SA - Classe Daphné Navy-1280x720

[b][b][b][b][b][b][b][b][b]Afrique du Sud[/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b]
[b][b][b][b][b][b][b][b][b]n°[/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][b][b][b][b][b][b][b][b][b].[/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][b][b][b][b][b][b][b][b][b]Nom[/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][b][b][b][b][b][b][b][b][b]]Chantier[/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][b][b][b][b][b][b][b][b][b]Sur cale[/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][b][b][b][b][b][b][b][b][b]Lancé[/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][b][b][b][b][b][b][b][b][b]En service[/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][b][b][b][b][b][b][b][b][b]Désarmé[/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b][/b]
S97-MARIA VAN RIEBEECK (puis SPEAR)Dubigeon, Nantes3-19696-19701996
S 98-EMILY HOBHOUSE (puis UMKHONTO à/c 1999)Dubigeon, Nantes10-19691- 19712003
S 99-JOHANNA VAN DER MERWE (puis ASSEGAAI)Dubigeon, Nantes7-19707-19712003
FRA - SA - Classe Daphné Assegaai-sa-naval_museum-fb

Caractéristiques



Navires de la classeS-641 “Daphné” / S-642 “Diane” / S-643 “Doris” / S-644 “Eurydice” / S-645 “Flore” / S-646 “Galatée” / S-647 “Minerve” / S-648 “Junon”  / S-649 “Vénus” / S-650 “Psyché”  / S-651 “Sirène” 
Chantier NavalNantes / Cherbourg
années de construction1958-1964 (français)
Longueur57,75m
Largeur6,74m
Tirant d'eau5,25m
Déplacement en surface869 tonnes
Déplacement en plongée1043 tonnes
Propulsion2 groupes électrogènes de 450 kW, diesel SEMT Pielstick-Jeumont-Schneider
type 12 PA 1 bis.
2 moteurs électriques de 1000 ch (735 kW) pouvant en pointe
dépasser 1300 ch pendant quelques minutes. 2 hélices.
Vitesse en surface12 nœuds en surface
Vitesse maxi en plongée16 nœuds en plongée
8 nœuds au schnorchel
Immersion maximale de sécuritésupérieure à 300 m
Rayon d'action4300 NM à 7,5 kt au schnorchel ; (autonomie : 30 jours)
Veille optiquePériscope de veille et d'attaque
Equipement1 radar DRUA 31, 1 sonar DUUA 2B, 1 groupement microphonique DSUV 2, 1 télémètre acoustique DUUX, 1 détecteur de radar ARUR 10B
Armement8 tubes lance-torpilles intérieurs à l'avant, 4 extérieurs à l'arrière. Torpilles type E14, F17
Équipage6 officiers + 24 officiers mariniers + 20 quartier-maîtres et matelots.


Dernière édition par furieux le Dim 15 Jan 2023 - 0:45, édité 1 fois
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Message  furieux Dim 15 Jan 2023 - 0:36

Navires de la classe :


S-641 “Daphné”

FRA - SA - Classe Daphné Img_0010
Depuis son admission au service actif en 1964, la Daphné a sillonné les océans pendant 2502 jours dont 1160 jours de plongée, parcourant près de 300 000 nautiques, soit environ 14 fois le tour de la Terre. Sa carrière s’est déroulée sans accrocs, sauf pour un de ses marins qui glisse sur une plaque de verglas présente sur le pont extérieur et se noie. La Daphné va opérer majoritairement dans la méditerranée où les eaux sont calmes. En 1789 elle est retirée du service actif, et 1 an plus tard sera coulé par un AM-39 Exocet tiré depuis un Super-Etendard Modernisé de la 17F.

S-642 “Diane”

FRA - SA - Classe Daphné Photo06m
Le Diane a multiplié les carénages et modernisation mais sans pouvoir en tirer pleinement profit puisque le seul fait marquant est un accident où le sous-marin prend une assiette à piquer très dangereuse ayant failli perdre le sous-marin. Celui-ci sera vendu aux enchères contre 167 000 francs en 1995.

S-643 “Doris”

FRA - SA - Classe Daphné 1561203
La vie du Doris était tout aussi calme que celle du Daphné à l'exception qu’en 1966, il est abordé par le pétrolier soviétique Stanislav au cours d'une reprise de vue. La Doris a de sérieux dégâts sur l'arrière, mais par chance, le panneau arrière n'est pas atteint, ce qui évite au sous-marin de sombrer. En 1983, pendant que  le Doris navigue en surface au large de Sète, se produit une explosion accidentelle dans le local batterie entraînant la mort de deux sous-mariniers, faisant cinq blessés. Le Doris est retiré du service en 1994 pour être torpillé par la nouvelle torpille MU-90 mais le sous-marin coule devant le centre d’essais.

S-644 “Eurydice”

FRA - SA - Classe Daphné DATA_ART_6439949
L’Eurydice est entré en service en 1964. Son histoire est courte mais dans l’histoire. Alors que la France pleure ses marins de la Minerve, le Général de Gaulle brise le protocole et au lieu de rentrer à Paris il décide de partir en plongée sur l’Eurydice. C’est la première fois qu’un Président de la République embarque à bord d’un sous-marin. Mais le sort s’acharne sur les Daphné puisque 2 ans plus tard en 1970, l’Eurydice éperonne par le bas un cargo tunisien. La brèche étant trop grande, le sous-marin sombre par 750 mètres de fond. 57 personnes sont portées disparues. L’épave sera localisée un mois plus tard alors que les recherches de la Minerve sont abandonnées au grand dam des familles.


S-645 “Flore”

FRA - SA - Classe Daphné Sous-marin-flore-lorient-exterieur
Le Flore entre en service en 1964. Entre quelques patrouilles calmes, le Flore a connu des accidents, d’abord bénin où il perd son sonar passif en carénage. Mais ensuite plus dangereux puisqu’on suppose qu’il s’est retrouvé dans la même situation que le Minerve. En 1971 le sous-marin prend une assiette à piquer assez surprenante, mais l’équipage parvient à larguer les plombs de sécurité (poids supplémentaires pesant des tonnes qui une fois largués allègent le sous-marin et le font remonter à la surface, procédure d’extrême urgence). Le sous-marin est sauvé mais les cauchemars de la Minerve disparue un an plus tôt refont surface. Placé en réserve en 1988, il quitte le service actif en 1989. Il est maintenant un musée à Lorient au musée de l’Escadrille des Sous-Marins de l’Atlantique.


S-646 “Galatée”

FRA - SA - Classe Daphné Photo09m
Comme ses grands frères, la Galatée ne manquera pas à la tradition des accidents graves. Avant sa mise en service, en 1962 le sous-marin a sa barre arrière coincée ce qui fait prendre une assiette négative de 60° au navire. Elle tape le fond mais la machine arrière toute limite l’impact. La faible profondeur de 100m évite le pire. Un an plus tard en 1963 la Galatée percute un cargo libanais qui va plier tous les appendices (instruments qui sortent du kiosque). Enfin admise au service en 1964, 6 ans plus tard la Galatée aborde en surface le sous-marin sud africain Maria Van Riebeeck (également un Daphné) au large de Toulon. Le second rentre à la base navale alors que le premier s’échoue dans une crique. Le sous-marin sera renfloué plus tard. Elle est retirée du service en 1993 et coulée comme but en 1998 au large de Toulon.

S-647 “Minerve”

FRA - SA - Classe Daphné EAFWrweW4AECOAb
La Minerve est admise au service actif en 1964. Sa carrière sera courte mais c’est bien le sous-marin le plus connu dans le monde avec le Koursk. Le 27 janvier 1968, la Minerve lors d’un exercice avec un Atlantique 2 rompt le contact soudainement après la plongée, et n’est jamais remontée à la surface. Ses 52 membres d'équipage sont morts, ce qui va laisser une cicatrice dans l’histoire de la Marine Nationale, celle des Toulonnais et celle de la France. Dans la nuit l’alerte retentit dans Toulon, tous les marins sont appelés d’urgence à appareiller dans les plus brefs délais, l’alerte perte de sous-marin est déclenchée. Tous les moyens disponibles sont utilisés du patrouilleur au porte-avions Clémenceau. Après 3 jours les recherches sont abandonnées car s’il y avait des survivants ils seraient déjà morts. Le président de la République Charles de Gaulle vient à Toulon rendre hommage à ces marins.

"Des Marins sont morts en mer. Ils étaient volontaires, c'est-à-dire qu'ils avaient d'avance accepté le sacrifice et qu'ils avaient fait un pacte avec le danger. C'est pour cela en particulier que le sous-marin Minerve a laissé au cœur de la France toute entière un souvenir profond, et à ses armées un exemple qui durera. Au nom de la Patrie, je salue leur mémoire et je suis sûr que ce qu'ils ont voulu faire et ce qu'ils ont fait restera pour notre France quelque chose de fort, comme ils l'avaient voulu. Vive la France ". [Charles de Gaulle, 8 février 1968]

Ensuite il brise le protocole, au lieu de remonter à Paris le Président de la République embarque à borde l’Eurydice pour une plongée symbolique. C’est la première fois qu’un président français plonge à bord d’un sous-marin. Les familles, premières victimes de l’accident vont avoir le regret de voir l’affaire classée secret défense, alors pendant 40 ans l’avancée de l’affaire ne sera pas dévoilée. Mais en 2008 le Président de la République Nicolas Sarkozy retire le caractère secret défense de l’affaire sur demande des familles. Rien des archives n’aide les familles. Mais en 2019 les recherches reprennent avec l’aide d’un navire hydrographique américain. Pourquoi ? Ce navire a retrouvé un sous-marin argentin disparu tragiquement quelques années plus tôt. 6 mois plus tard l’épave est retrouvée par 2300 m de fond à 45 km des côtes. Les causes sont inconnues mais une hypothèse existe. Un problème récurrent sur les Daphné est l’huile des gouvernes de tangage. Ce défaut fait prendre une assiette à piquer très importante et ne permet pas la récupération de celle-ci.



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S-648 “Junon”

FRA - SA - Classe Daphné S-648-Junon-02
La Junon entre en service en 1966 et par rapport aux autres n’aura pas d’histoire, si ce n’est “seulement” l’abordage avec un chalutier, ce qui fait petit joueur au vu de l’histoire tourmentée de cette classe. Elle est retirée du service en 1996, puis coulée comme but d’entraînement en 2004 par la FASM Type 70 “Dupleix” (Frégate Anti-Sous-Marine) avec deux MM-38 “Exocet”.

S-649 “Vénus”

FRA - SA - Classe Daphné Ab-smd-venus-type-800t
Même constat pour la Vénus, elle est admise au service actif en 1966 et hormis une mission jusqu’à Oslo elle ne connaîtra pas d’accidents si ce n’est celui de sa destruction après son retrait du service actif (1990) par les plongeurs démineurs qui ont coulé la Vénus en 2002.

S-650 “Psyché”

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Héritier du Psyché de la Seconde Guerre mondiale, le Psyché entre en service en 1970. Il a connu les missions les plus intéressantes en termes de voyages, de l’Afrique à l’Asie. Il est retiré du service actif en 1998, puis coulé en 2002 par une FLF (Frégate Légère Furtive) et son canon de 100mm, puis explosée par les plongeurs démineurs.


S-651 “Sirène”

FRA - SA - Classe Daphné 19324012
La Sirène est admise au service actif en 1970. En 1972 il réussit l’exploit de se couler tout seul dans son bassin. Une erreur humaine qui a amené à l’ouverture d’un tube lance torpilles. Une façon de terminer la série en beauté. La Sirène est retirée du service actif en 1997 puis est coulée comme but d’entraînement en 2005.
furieux
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Croix de fer 2e classe
1ère récompense à la Participation à la vie de l'escadrille
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